Ah, la belle escalade que voilà! On va dénoncer une convention signée en 1973 qui rétrocède à la France environ un tiers des impôts payés à la source par les travailleurs frontaliers à Genève. On se fiche avec cette idée à quatre sous du bordel qu'on met dans la morne campagne des élections nationales du 18 octobre, des holà et des ouh là là des élus d'ici et d'ailleurs. Ce qui compte, pour le Mouvement contre Genève, c'est qu'on parle de lui. Pari gagné!