Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Economie

  • La marmotte de Lausanne (#GIEC)

    Imprimer

    D91915A2-3D26-4BCF-900D-DD6D281CCB8A.jpegIl y a 15 mille ans, Lausanne jouissait du climat que l’on trouve aujourd’hui à 2000 mètres d’altitude. Comment le sait-on? Parce qu’on a trouvé un squelette d’une marmotte non loin de la gare du chef-lieu vaudois. Heureusement que la terre s’est réchauffée depuis. Sans cause humaine apparente.

    Ma chère RTS, dont le métier est d’égrener les nouvelles du chapelet de l’actualité, nous sert donc cet anachronisme, sans commentaire ni explications, juste après avoir annoncé l’enfer ici-bas - nouveau rapport du GIEC oblige - que nous promet donc le réchauffement climatique, notre faute à nous. Pas un incendie, inondation, glissement de terrain qui n’ait pour cause désormais notre gourmandise que dis-je notre accaparement irresponsable des ressources combustibles enfouies sous nos pieds, sans raison ni objet, depuis des millions d’années. 

    Lire la suite

  • Boire et manger en 2035

    Imprimer

    DEBC865C-79FA-4AC4-8968-89FE7C77E05B.jpeg« Si l’étiquette comporte plus de six ingrédients, il y a plus de trois chances sur quatre qu’il s’agisse d’un aliment ultratransformé » Cette affirmation légende une photo prétexte illustrant un article, publié cette semaine par mon journal préféré, dont le sujet est une mise en cause de cette tendance de l’industrie alimentaire de recomposer les aliments en fonction du goût supposé des consommateurs et du profit. Le titre donne le ton: « Méfiez-vous du cracking alimentaire » L’alerte très en vogue cite le livre publié en 2017 par Anthony Fardet, un proclamé expert de la chose. 

    Personne n’est évidemment obligé d’acheter ces aliments industriels, mais il est de bon ton de s’en méfier. C’est comme le hamburger, symbole de la malbouffe, alors qu’il fait partie d’une chaîne alimentaire efficace (les vaches laitières finissent en hamburger) et accessible à tous. 

    Lire la suite

  • C’est notre faute, c’est «Hd» kill dit

    Imprimer

    D6BBE879-5205-4D49-9CC1-82E281174330.jpegLa pandémie sera en août un passé simple, estime notre ministre suisse de la santé. Sans doute l’hiver favorisera-t-il ici et là quelques foyers épidémiques. De quoi échauffer les gazettes. Mais il y a fort à parier que l’agenda politique sera revenu au monde d’avant, soit au réchauffement climatique. «H, pour haute définition de son petit nom Heidi, est déjà sur les charbons ardents. Le joueur pur (entendez pure player) de la médiasphère genevoise, bientôt inclus dans Le Temps, lance ce jour son «tableau de bord pour suivre les indicateurs du climat en data». 

    La chose, à suivre ici, se décline en quatre temps:  1) Le climat se dérègle, 2) C’est notre faute, 3) De nouvelles menaces, 4) Les actions à mettre en place. 

    Lire la suite