Il paraît, si j’en crois la réd en chef de La Croix, que le pape lui-même devait se rendre à Glasgow. Sans doute n’y est-il pas car il n’aurait pas été le premier parmi les prêtres à célébrer la grand messe du réchauffement climatique, à avouer son péché d’être, lui et ses congénaires, la cause du dérèglement climatique, à chanter les louanges de la sobriété et de la technologie pour nous sauver de ce faux pas.
La plupart des grands prêtres qui se réunissent à Glasgow en ces jours d’Halloween et de Toussaint n’entonneront ni Confiteor ni Kyrie ni Gloria, ne reconnaissant pour gouverneur suprême que le hasard et la nécessité (les forces quantiques et la gravité) et l’action délétère du genre humain comme explication de l’état de la planète.