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Vu du Salève - Page 615

  • 400, 500, 600 hectares de terres agricoles bétonnés?

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    Mâche.pngQuand donc le tabou du déclassement d'une nouvelle grosse tranche de la zone agricole genevoise va-t-il tombé? Voilà trois ans qu'on nous dit que Genève hébergera 100'000 habitants et 70'000 emplois de plus d'ici 2030. Or personne ne connaît l'emprise exacte du projet d’agglomération franco-valdo-genevois sur la zone agricole. Martine Roset, viticultrice et maire de Satigny, est en charge du dossier à AgriGenève. Elle attend avec impatience des réponses des autorités. Combien d'hectares seront donc soustraits à la culture? Quels impacts pour les agriculteurs concernés et pour l'alimentation des Genevois? Et quelques autres questions brûlante du type: à quel prix ces terres seront-elles négociées? Et qui seront les heureux gagnants du plus formidable jackpot politique des ces cinquante dernières années?

    Reprenons dans l'ordre.

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  • HEPIA et Lamunière

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    lamunière station BP.pngJ'avais suggéré VertIge, ce sera HEPIA. Dans HEPIA, c'est le p qui pose problème. Enfin pour certains qui redoutent cette montée en puissance du paysage dans les métiers de l'ingénieur. Car l'HEPIA est le nouveau nom de l'Ecole d'ingénieurs de Genève depuis hier, date de son mariage officiel et forcé avec l'Ecole d'Ingénieurs de Luillier. A Genève, pour une partie des architectes, des constructeurs et des tenant du progrès social et de la modernité, l'HEPIA intrduit le Vert dans le fruit. Les paysagistes vont-ils dicter leur loi et renaturer n'importe quel bout de rivière? L'enjeu est de taille pour le futur quartier Praille Acacias Vernet où s'écoulent pas moins de trois cours d'eau: la Drize, l'Aire et l'Arve, seule le troisième étant visible.

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  • Ces internautes couverts d'une burka

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    masque.jpgIl est de bon ton de s'émouvoir de l'anonymat derrière lequel se cachent nombre d'internautes au prétexte - honorable sans doute - qu'en démocratie tout un chacun devrait avoir le courage de ses opinions et le droit et même le devoir de les exprimer à visage découvert. Cette règle s'applique dans la presse, où rares sont les journaux qui publient des lettres de lecteurs non signées et l'indication de la source est une des règles cardinales de la crédibilité de l'information. Tout le contraire sur la toile. L'anonymat, le masque, le pseudo règnent en maître. Les signatures sont l'exception.

    Sur la toile, les internautes butinent couverts d'une burka qui souvent, il faut bien le reconnaître, n'est pas là pour voiler leur vertu mais leur sert de paravent commode à une expression débridée, informe, impolie, voire injurieuse ou scandaleuse. Tardivement venus sur la toile, les journaux n'ont guère eu d'autres choix que d'y adopter les règles. Au risque d'y perdre leur âme.

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