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Vu du Salève - Page 364

  • Gross Genf et le stade-franc

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    stade de genève.jpgGross Genf. Je trouve cette étrange expression sous la plume de mon confrère Pascal Décaillet à propos de la relance par trois écolos, dont le président du Grand Conseil vaudois, le député de Nyon Philippe Martinet, de faire jouer au stade de Genèe le club de football haut-savoyard ETG, Evian (ville de son sponsor) Thonon (ville de son terrain avant que sa montée en Ligue 1 ne l'oblige à trouver refuge à Annecy) et Gaillard (ou les Croix de Savoie sont nés).

    Le journaliste, dont on suppose qu'il est contre cette invasion sportive, mais ne paraît pas s'offusquer que toutes les équipes soient formées de joueurs mercenaires sans frontière, en profite pour ressasser un de ses thèmes favoris: la dictature des élites qui nous gouvernent, qui décident à notre place sans consulter le peuple. Horreur! Véritable crime majeur de lèse démocratie dans ce pays qui continue de croire que le pouvoir est au bout du bulletin de vote. Thème porteur de tous les populismes au demeurant qu'il soit de la gauche extrême ou de la droite extrême.

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  • Comment je me meus

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    piste cyclable neige.jpgLes Genevois ont inscrit dans leur Constitution le libre choix du mode de transporsn. En fait un cheval de Troie que les pro bagnoles ont introduit dans la cité pour retarder le bannissement de leur quatre roues du macadam urbain C'est donc une guerre de basse intensité qui continue.

    Genève, dont les touristes ne cessent depuis César de noter la beauté du site, sera bientôt la dernière ville d'Europe, du monde sans doute, pour cette capitale lilliputienne qui aime à se hausser au rang des grandes métropoles, à n'avoir qu'une zone piétonne à sa dimension véritable...

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  • Minder: leur donner une bonne leçon?

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    Minder.jpgQuelle prétention! Mais c'est la démocratie. Or donc le bon peuple suisse, qui, faute d'avoir toujours raison, devrait selon certains avoir toujours le dernier mot, dira le 3 mars s'il faut confier aux conseils d'administration la tâche de fixer les rémunérations des top chefs de quelques top entreprises, celles qui acceptent ou sont contraintes de se soumettre aux règles des marchés boursiers. 

    Paradoxe les acteurs de ces mêmes marchés - au nombre desquels on trouve nos caisses de pension et leur représentants aux conseils d'administration - poussent ces entreprises à des rendements élevés. Mardi soir, dans l'émission Le Monde d'après de France 3, de doctes économistes ont montré que la dictature des marchés et la gourmandise des actionnaires mènent  à un fol emballement. Qui fait peut-être le beurre des rentiers, mais pas forcément le bonheur des travailleurs. 

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