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  • Gruson jette un pavé et les grenouilles coassent

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    genève carte sous Zurich.jpgPauvre Genève! Jetée à cause de son histoire et de l'étroitesse de son territoire dans un débat débile. Les frontaliers n'existent que parce que la cité est une presqu'île dans une région qu'elle a toujours ingnorée voire snobée. Ajoutez le nationalisme, voire le localisme, qui a façonné et façonne encore l'Europe en un puzzle de baronnies jalouses, conservez encore un système politique qui nie la réalité de vie des gens mais donne une prime au poujadiste du XXIe siècle. Et vous obtenez le maigre brouest qu'un directeur d'hôpital touille.

    Il suffit de superposer le canton de Zurich sur celui de Genève pour comprendre que le problème des frontaliers n'en est en réalité pas uns. (cliquez sur la carte pour l'agrandir)

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  • Genève Zurich en 90 minutes?

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    cff berne zurich.jpgTantôt les Genevois fêteront les 100 ans du CEVA. Ils n'ont pas fêté les 120 ans du Paris-Milan que certains, au XIXe, espéraient voir passer par Genève via un tunnel sous la Faucille. Le train du sillon alpin Genève, Annecy, Chambéry Grenoble existe, mais il circule deux fois plus lentement qu'un autocar sur l'autoroute qui court parallèlement à la voie unique.

    Genève Voltaire Aéroport (GVA) est plus proche de Lyon Saint Exupéry en voiture qu'en chemin de fer. La troisième voie CFF est une folie qui coûtera cher et n'est promise à aucun avenir, car jamais on ne pourra ajouter une quatrième voie sur le tracé conçu au milieu du XIXe siècle.

    L'avenir du rail se construit-il du côté de Zurich?

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  • Les banquiers sont bien seuls

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    Vous entendez? Moi pas grand chose.

    J'entends bien peu de politiciens courir au secours des banquiers face à l'empire en panne de dollars, qui a fini par être agacé par quelques plus intelligents que les autres, dont les plus insolents donnaient des leçons d'économie et de bonne gourvernance autour d'eux. Les voilà, dit-on, tous effrayés ces banquiers, y compris ceux qui se sont bien comportés, par quelques dispositions fiscales qui affirment plus clairement, pour ceux qui ne l'avaient pas compris, que la pax americana a un prix que tout citoyen du monde doit acquitter dès lors qu'il veut faire commerce avec le coeur de l'empire ou en est un citoyen éternel. Point.

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