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Vu du Salève - Page 604

  • Une image catastrophique

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    sondage bilan du CE.jpgQuel est le pire des métiers à Genève? Financier, conseiller d'Etat, pasteur, éboueur, journaliste? Le dernier sondage de la Tribune est sans équivoque. C'est la fonction de conseiller d'Etat qui semble valoir au gouvernement genevois le pire des mauvais carnets.

    Certes, ce sondage n'en est pas vraiment un [cliquer sur l'image pour l'agrandir]. Il n'est vraisemblablement pas représentatif. Nombre d'internautes ont cliqué comme on joue à la noce à Thomas. Ce jeu de massacre participe de la Revue genevoise et du carnaval. En ces temps où c'est la faute à personne et surtout pas à moi, les élus sont de commodes boucs-émissaires et les internautes autant de méchants fous du roi.

    N'empêche la leçon est sévère. Le gouvernement a-t-il tant démérité? Aurait-il pu faire mieux, dans quels domaines, comment? Pire que les juges de la Cour des comptes, les Genevois n'ont souvent que des yaka à la bouche qui ignorent le nécessaire équilibre des intérêts. 

     

  • Les voeux du président sortant

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    voeux moutinot photo.jpgLaurent Moutinot m'adresse ses voeux les plus chaleureux pour la nouvelle année. Dirais-je que j'en suis flatté: aussitôt l'on pérorera sur les relations incestueuses que le pouvoir et les journalistes politiques entretiennent. Surtout dans cette si petite République, où les journalistes terminent parfois leur carrière au sein d'une direction de la communication. L'avenir plus qu'incertain des quotidiens n'incite guère à dire "Fontaine je ne boirai pas de ton eau".

     

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  • Les bonnes vérités de Daniel Vasella

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    Vasella noir blanc officielle.pngLe patron de Novartis est la cible des policitens populiste, des envieux, des coupeurs de tête qui dépassent. Daniel Vasella est le patron le mieux payé de Suisse. Plutôt que de cacher sa réussite sous la cendre, il rayonne tout heureux de son succès. Pire il a le culot de justifier son salaire multimillionnaire. De quoi concentrer sur sa modeste personne toute la rancoeur des Suisses qui voient impuissans la crise tailler en pièces leur bas de laine.

    Dans une interview puiblié dans le numéro 267 de Bilan, dont la couverture dorée est une insulte aux gagne-petits, le patron-le-mieux-payé-de-Suisse défend son biftèque, comme un simple salarié. Ses arguments ne sont pas à prendre à la légère.

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