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Pays, paysans - Page 12

  • Les cornes oui, les couilles bof?

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    genetique bovine suisse vache.jpgLa question la plus existentielle jamais posée lors d'une votation en Suisse sera donc tranchée ce dimanche 25 novembre. Faut-il oui ou non subventionner les cornes pour éviter qu'on les coupe (sur l'écornage, le  web ne manque pas de ressources ici, et notamment).

    Mais quid des parties génitales mâles qu'on coupe depuis la nuit des temps pour faire des bœufs (mais aussi des moutons, des cochons, des chapons), exception faite des taureaux de corrida et des quelques reproducteurs (cf la brochure Génétique suisse), que la nature impose encore, en attendant le genèse sans ogm du sperme artificiel. 

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  • Pig Data

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    porc chinois weiyang.jpgGenève n'élève plus de cochons. Ou presque. Question d'odeurs. Une poignée de fermes engraissent un peu plus de mille porcs GRTA, principalement des laineux. C'est la moitié moins qu'il y a dix ans, selon le mémento statistique du canton.

    Rien de tel en Chine. Le premier producteur mondial de ce sympathique animal - 430 millions - , dans lequel tout est bon, dit-on (y compris sous forme de transplantation chez l'humain de notre local Philippe Morel), est le théâtre de surprenants accouplements. Saviez-vous que le le patron chinois de Netease, un éditeur de jeu vidéo qui aussi du plus grand fournisseur d'adresses mails de l'empire, parie aussi sur les porcherie gouvernées par le big data. Un marché dans lequel le plus connu Alibaba s'engouffre aussi.

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  • Robot bineuse à Charrot

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    Il y a quelque temps, j'ai évoqué les épinards pleins de mauvaises herbes d'un maraîcher député, devenu bio  - le maraîcher, pas le député qui lui est toujours PLR. Il y en avait tant de mauvaises herbes que la culture avait complètement disparu. Peut-être que cela n'a pas d'incidence pour transformer les dits épinards en bonne soupe, mais quel boulot s'il faut séparer le bon grain de l'ivraie. Heureusement, dans un temps pas si lointain, des robots bineuses viendront prêter main forte aux cultivateurs. 

    Il se trouve qu'en ce dimanche d'été indien sans fin, la lecture de The Economist m'a à nouveau mis sur la piste des futurs bras qui permettront une culture bio économique. 

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