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Nature, biologie

  • Un paysan de la révolution verte s’en est allé au ciel

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    ACC971A4-D92D-49A4-B247-746AAC033E4E.jpeg8500 km sur les chemins de Compostelle, de Rome et d’ailleurs. Anita Nebel, ancienne adjointe de Collex-Bossy, a toujours eu Albert Marechal en admiration. Un paysan, un époux, un père, un maire, un marcheur. Comme on n’en fait plus. Elle a prononcé un long et bien bel hommage hier après midi dans l’église de Collex, pleine des parents et des amis du défunt. Quelques paysans, quelques élus à la retraite, deux adjoints enrubannés. Peu de politiciens actuels. Trop peu, dit un paysan, ancien député, ami de Landecy. *

    On meurt quand on peut. Albert n’a pas survécu un mois à son placement en EMS. Un sage sans doute qui avait su préparer les chemins du ciel. 

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  • L’orchidée pyramidale de la pente à luger de Charrot

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    57126408-A78F-4B80-8CC4-084FFA6822CB.jpegQuelle chance d’habiter au pied du Salève et de se balader sur le chemins des vignes, entre Landecy et Bardonnex. A toute heure, la lumière est magnifique, la façade des varappes majestueuse, le ciel parfois tragique quand des trains de cumulus lâchent leurs averses le long de la masse sombre du et que le soleil sombre à l’ouest et allume le feu. 

    Sur le coteau on voit le jet d’eau et le lac au loin. Au bas du coteau on suit le vallon de l’Arande qui marque la frontière. C’est la saison des orchidées des champs. Un marqueur de la diversité écologique. 

     

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  • Fin d'un monde, fin du monde: propos de bistro?

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    incendies californie.jpgBistro ce matin avec un ex député divers droites mais indépendant, qui fréquentait et fréquente volontiers les esprits de tous bords, sans préjugés ni qu'en dira-t-on, devenu dubitatif sur le monde qui va et qui vient et qui n'avait pas encore lu l'excellente interview parue ce lundi dans la galaxie Tamedia (dont la Tribune*) à propos de la lutte contre le blanchiment d'argent et l'art de la cosmétique comptable, son bain quotidien. Le privilège de l'âge sans doute.

    On glose sur la république des médecins, qui semble régner en maître du haut de leur savoir - lequel s'avère bien incertain et bien moins péremptoire quand on les fréquente de près. Dans les médias, ils assènent leur vérité, leur mode de gouvernance à des politiques, coincés entre ces experts, la peur de mourir de leurs administrés (l'opinion publique), le principe de précaution pascalien (mieux vaut croire en la médecine que pas) et une navigation pragmatique, à vue, dans une mer pleine d'écueils où les boussoles ne servent à rien.

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