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Médias - Page 50

  • BA-BEL! DALBUS-CO! BA-BEL! DALBUS-CO!

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    image.jpegDU-CRET! DU-CRET! DU-CRET! On imagine mal les PDC et les Radicaux, héritiers de fameux ministres, défiler dans les rues de Genève et réclamer une gestion rigoureuse des finances publiques. Et pourtant, sans doute est-ce l'avis majoritaire de la majorité silencieuse du Canton. Qu'on n'entend par définition. Il y en aura donc que pour les grévistes dans les médias face à un gouvernement droit dans ses bottes qu'on sent au soir de ce premier jour bien seul. 

    Il est vrai qu'il est inutile de brailler plus fort que les mégaphones des supplétifs des syndicats. Laissons passer l'orage. Cependant entends je sur Forum, si Poggia est solidaire du gouvernement, le MCG serait solidaire des fonctionnaires. Qui au Grand Conseil fait la pluie et le beau temps, selon qu'il vote avec la gauche ou la droite. 

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  • En 2020, 20% des articles écrits par des robots

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    image.pngFlipboard est un bon moyen de butiner sur le web. Feuilletant mes sélections, j'expérimente une des raisons de la défection des consommateurs d'un seul média, journal ou telejournal. Le temps de l'information ne diminue pas, je pense même qu'il augmente, mais les moyens d'information se sont demiltipliés dans des proportions inimaginables. La part des médias locaux s'en trouve forcement congrue.

    Donc, sur Flipboard, je surfe sur Nieman Lab. Je tombe sur Wired, puis sur le blog d'Yseop, une jeune pousse française installée aux Etats-Unis, qui tente de faire sa place au soleil des génératpeurs de textes, lequel me renvoie sur Gartner. L'Institut de prospective croit qu'en 2020, 20% des articles seront produits par des robots. 

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  • Double échec du Grand débat électoral d'Infrarouge sur la RTS

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    Capture d’écran 2015-10-08 à 17.47.19.pngLe débat électoral est l'émission la plus casse-gueule qui soit. Du moins depuis que des grandes gueules sans grande culture ont pris, à Genève, le malin plaisir de tempêter au micro et de parler à tort et à travers sans respect ni pour leurs interlocuteurs ni pour l'animateur ni pour le public qui a tôt fait de zaper face à ces foires d'empoigne. Et ce ne sont pas les gazouillis que le téléspectateur peut émettre et qui eux sont filtrés qui vont changer le fait que le débat est mort. Le Grand débat d'Infrarouge en a encore une fois administré la preuve.

    La faute aux populistes de tous bords, aux yakas et aux fautqu'on. La faute aussi au format de l'émission qui veut imposer quatre ou cinq thèmes dans deux heures trente de direct et aux animateurs qui coupent la parole, soucieux de ou condamnés à faire avancer la discussion et de ou à donner à chaque tribun sa part de temps d'antenne.

    Au final, qui a eu le courage d'écouter jusqu'au bout. Que sait-on de plus? Que s'est-on dit, qui ne fût pas déjà dit et entendu? A quoi donc sert ce cirque électoral sinon pour la RTS à cocher la case: "à respecter son mandat de service public"?

    L'affaire est plus grave et dépasse de loin l'émission d'hier soir. Car, à Genève du moins, la péroraison, le bavardage persillé d'invectives pollue trop souvent les débats des conseils. Le plus atteint est sans conteste le Conseil municipal de la Ville de Genève qui, pour 220'000 francs par an, se donne en triste spectacle sur les ondes de Léman Bleu.

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