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Gestion publique - Page 4

  • Thoiry enterre la ligne ferroviaire Nyon Bellegarde

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    B39C4DF8-1D3B-48AC-B635-CD74DD926107.pngIl y a belle lurette qu’on ne circule plus en train de Divonne à Bellegarde. La ligne qui serpente dans le Pays de Gex fait pourtant toujours partie des rêves des urbains qui veulent bannir les voitures de leur espace de vie sans égard pour les travailleurs et les chalands qui peuplent leur région.

    Le train, un moyen de transports collectifs du XIXe siècle, reste un must quel que soit son coût et son inaptitude à desservir les localités petites et moyennes. Ainsi Alprail milite toujours pour la réhabilitation de la ligne du Pays de Gex et son raccordement au réseau suisse, via Nyon (raccordement existant de 1905 à 1962) et l’aéroport. 

     

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  • Geneve, version Calvin mais sans la Providence

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    097FE2F9-0854-4EA2-85D3-B6849E95E20C.jpegGenève adore les études prospectives. Toutes ces études ont fini dans un tiroir. Sans grands effets. Il en ira sans doute de  même de la dernière perle artificielle pondue par des futurologues lausannois mis au boulot par le ministre vert du minuscule territoire genevois, Antonio Hodgers, qui n’a pas voulu être jusqu’en 2023 ou 2028 le président durable de notre bonne République.

    En 2050 donc, GVA (Geneva Voltaire Airport) sera transformé en champ de patates et en parc éolien, lis-je dans mon journal préféré, qui chronique « Neutralité carbone ». Comme les médias français qui cette semaine ont exposé le scénario le plus extrême, qui prédit une hausse de la température de 4 degrés en 2100 dans l’Hexagone, la Tribune expose le scénario le plus apocalyptique, le seul foi d’experts à atteindre l’objectif fixé.

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  • Maudet Fischer, pauvre débat

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    fischer maudet.jpgPauvres politiques. Plus encore en ces temps de pandémie où la mort rôde, qu'en temps ordinaire - mais le temps n'est pas ordinaire, puisque le réchauffement climatique nous promet une mort infernale - on réclame des surhommes (pardon des surhumains) : dictateurs éclairés mais néanmoins démocrates et à l'écoute, pères de la nations, solides et généreux, mères de la patrie, pragmatiques et consolatrices? Sommes-nous donc tous des enfants, des oisillons, des victimes? 

    Je lis dans le Temps du 31 janvier le compte rendu du face-à-face Fischer-Maudet. Pour l'avoir pratiqué, je sais combien l'exercice est périlleux et frustrant. D'autant qu'il ne s'agit pas d'élire un dictateur le 7 mars, mais un membre d'un gouvernement, qui est lui-même soumis au contrôle d'un parlement de milice, à l'arsenal touffu des lois en vigueur et à des administrations en place mais pas toujours aux ordres (et non soumises à réélection) pour faire avancer la galère genevoise dans une bonne direction.

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