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Gestion publique - Page 2

  • Pas d’église à Praille Acacias Vernets

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    1. 42C7D2A4-3B8F-47E9-87A2-3A4EC820D5BA.jpegA quoi sert une église? Cette question nous interpelle. Jusque dans la construction d’un nouveau quartier au coeur de Genève. On a pu lire à l’occasion de la présentation d’un nouveau quartier à Praille Acacias, ce commentaire dans La Tribune de Genève, où  Christian Bernet se désole de n’y voir «pas de salle communale, pas d’église, pas de mairie, pas de locaux pour la fanfare».

    De fait, les églises à Genève n’ont pas, à ma connaissance, réclamé un morceau de terrain pour y bâtir une maison des amis de Dieu.

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  • #frontaliers: La solution de Soral est à Bardonnex

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    34F6366F-5D94-44CA-91B1-CF8A0ABDE0F4.jpeg50 millions pour soulager les Soraliens des 12’000 voitures qui traversent ce paisible village. Est-ce trop? Est-ce juste? On s’interroge alors qu’il n’y a pas si longtemps, le Grand conseil a enterré une nouvelle route dite L1 et L2 entre le carrefour du Bachet-de-Pesay et la douane de Pierre-Grand qui promettait de réduire la circulation des pendulaires dans pas moins de six villages au sud du Canton. Il est vrai que pour aucun de ces villages comme pour Soral ou Chancy le dispendieux CEVA (près de 2 milliards pour 40’000 voyageurs par jour soit 20’000 voitures à deux passagers) est bien inutile. 

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  • L’autoroute honnie et les protestants

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    417A1261-B69F-4424-B1F6-94A7B3CC429A.jpeg«Quand Genève finance l’autoroute qu’elle combat». Ce titre barre la page événement de La Tribune de Genève du 19 avril. Le journal local consacre un éditorial bien dans l’air du temps à ce «projet d’un autre siècle». Les Verts qui fournissent la matière à la rédaction applaudissent évidemment des deux mains. Peu importe qu’au passage, on mêle sans vergogne la ville de Genève, dont la majorité rose verte s’émeut du ruban bitumineux au point de le combattre par voie judiciaire, et le canton, qui collecte la manne fiscale des travailleurs habitant au-delà d’une frontière anachronique, dont une petite partie est reversée aux autorités voisines, Genève, ville et canton, restant largement bénéficiaire de l’accord de 1973.

    Ainsi donc, Genève, le canton, devrait dicter aux Savoyards comment dépenser le produit de la rétrocession fiscale transfrontalière, fruit du travail de ses ressortissants *. Belle hégémonie d’un petit chef lieu, la ville et son organe, dont la richesse, l’oubie-t-elle, qui lui permet de financer de généreuses politiques culturelles et sociales, provient d’un ensemble de facteurs historiques, économiques, culturelles et géographiques, dont nos élus urbains sont de bien dédaigneux hléritiers.

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