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Gestion publique - Page 121

  • Mark Muller, l'homme du pont de Genève?

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    Pont joye.pngLa traversée du lac c'est désormais une affaire fédérale. Depuis que Berne et les cantons se sont répartis les tâches, les routes nationales sont entièrement dans les mains de l'Ofrou. Que va donc présenter le président du Conseil d'Etat et ministres des infrastructures Mark Muller ce lundi?

    Un nième rapport sur la traversée du lac. Cette dernière mouture a été commandée par le Grand Conseil en janvier 2008 (loi 10015). Il a voté à cette fin un crédit de 3,5 millions. Trois ans pour pondre un rapport... Mark Muller sera accompagné par l'ingénieur cantonal et directeur général de l'office du génie civil (OGC) René Leutwyler et par le chef de projet Traversée du Lac à l'OGC Pierre Steiner (?).

    Mark Muller sera-t-il l'homme du pont de Genève?

     

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  • Le géant vert de plus en plus libéral

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    cadres dynamique.jpgOn savait David Hiler, le géant vert, pas très rose, bien qu'il eut fréquenté les maoistes dans sa jeunesse. Mais le revirement est tout de même spectaculaire. Ce matin dans mon journal préféré, je lis cette réponse de bon sens à l'entretien qu'il a accordé à Marc Bretton à propos de l'accueil des hedge funds à Genève, fort peu goûté par la maire socialiste de la ville:

    - Renoncer au négoce ou à la gestion de fonds aurait un impact destructeur sur l’ensemble de l’économie et de la société. Il n’y a pas d’alternatives. Nous avons besoin d’entreprises exportatrices dans des activités pointues. Mais si certains veulent que Genève se spécialise dans le textile, par exemple, il faudra alors accepter les salaires du Bangladesh!

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  • D'où tu viens, où vas-tu?

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    info mobilités 6 avril caméras.jpgD'où tu viens, où vas-tu? C'est en gros à ces deux questions que tentent de répondre les ingénieurs de la mobilité, dont l'enquête 2011 perturbe ces jours l'écoulement des pendulaires aux frontières du petit canton de Genève.

    On notera cette La Palissade qui dans la plupart des autres villes n'en est pas une, si Genève n'était pas coincé dans des frontières politiques, dont on commémorera tantôt le 200e anniversaire, on ne parlerait pas de frontaliers et les électeurs MCG seraient orphelins et sans doute dispersés dans tous les  autres partis du spectre politique. Ils n'existeraient pas.

    On se demande d'ailleurs pourquoi le conducator d'Onex ne s'en prend pas aux pendulaires de la côte, sans doute parce qu'il espère faire souche en Pays de Vaud. Ces "commuters" - ils parlent le plus souvent anglais au travail - ne viennent-ils pas autant que les habitants de la France voisine concurrencer l'emploi des Genevois?

    Mais là n'est pas le sujet. Revenons à la mobilité au travers d'une frontière qui n'a pas fini de faire des dégats dans les têtes et donc à la question initiale...

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