Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Démocratie - Page 122

  • Les Genevois veulent réviser la rétrocession fiscale frontalière

    Imprimer

    sondage retrocession.jpgCertes, on dira que les sondages postés chaque jour sur le site de la Tribune ne répondent pas aux critères des sondages professionnels. Pour les avoir pilotés pendant pas mal de temps et en produire encore aujourd'hui, je peux cependant attester que le résultat produit par les clics des internautes à la question posée est généralement acquis après l'enregistrement d'une centaine de réponses. L'augmentation de la participation ne modifie qu'à la marge le résultat acquis. Le renversement d'une tendance est très rare.

    Le dernier sondage mis en ligne vendredi 4 septembre porte sur le projet du MCG de dénoncer l'accord de 1973 par lequel Genève s'engage à rétrocéder aux communes et aux départements où habitent les frontaliers un tiers environ des impôts que leur employeur genevois prélève sur leur salaire et verse dans les caisses du Canton de Genève. D'emblée le résultat de ce sondage a été très serré. Il est resté ouvert samedi et dimanche jusqu'à 16 heures. A cette heure, il avait enregistré 2190 clics. A-t-il été manipulé?

    Lire la suite

  • Le Mouvement contre Genève tire une balle dans le pied du canton et s'en fout

    Imprimer

    Ah, la belle escalade que voilà! On va dénoncer une convention signée en 1973 qui rétrocède à la France environ un tiers des impôts payés à la source par les travailleurs frontaliers à Genève. On se fiche avec cette idée à quatre sous du bordel qu'on met dans la morne campagne des élections nationales du 18 octobre, des holà et des ouh là là des élus d'ici et d'ailleurs. Ce qui compte, pour le Mouvement contre Genève, c'est qu'on parle de lui. Pari gagné!

     

    Lire la suite

  • 80 millions de francophones, c'est une prison

    Imprimer

    image.jpgIl y a déjà quelque temps, un savant avait, sur France Culture, comparé la connaissance à la surface d'un ballon de baudruche. Au début, disait-il, le ballon est à peine gonflé, un seul homme pouvait alors saisir la totalité ou presque de la surface et connaître toute la conaissance alors connaissable - encore que je me demande si Aristote aurait été capable de faire du feu avec deux silex.

    Plus la connaissance augmentait, plus le ballon se gonflait et sa surface s'étendait, rendant l'omniscience rapidement impossible. Aucun savant ne sait tout. Pire, ajoutait le savant de France Cul, la surface s'étirant plus vite que le volume (au carré du rayon). Très vite des îlots de connaissance sont apparus à sa surface entourés de mers puis d'océans d'inconnus. Pire encore, chaque îlot a développé son vocabulaire pour désigner son domaine de connnaissance qui devient inconnu ou abscons à l'oreille des savants des autres îlots. 

    Lire la suite