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Air du temps - Page 156

  • MCG au pouvoir: réponse à Philippe Souaille. Gouvernance communale, réponse à "Je dénonce"

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    démocratie participative ....jpg"Ma" réforme de la gouvernance des communes genevoise me vaut un très long commentaire intéressant d'un anonyme qui signe "Je dénonce". Et ma dernière note intitulée "Pierre Maudet, Sandrine Salerno, Rémy Pagani, Esther Alder et Carlo Medeiros" un autre très long commentaire signé Philippe Souaille. Mes remerciements à tous les deux, en particulier à Philippe Souaille qui a le courage de signer son message et édite un blog que je tiens en haute estime: La mondialisation humnaniste.

    Je poursuis la réflexion aujourd'hui en rebondissant sur les propos de Philippe Souaille. Demain ou samedi, je reviendrai sur la gouvernance des communes et la réforme du mode d'élection des députés.

    Oui le MCG est un parti protestataire composé pour l'essentiel de déçus, de rancuniers, d'exclus, de rebelles, mais aussi de toute une population qui se sent menacée dans ses acquis. Oui le gouvernement de la colère, du "yaka" et du  "fautqu'on", du coup de gueule se conçoit mal dans notre horlogerie à complications multiples qu'est devenue notre démocratie empêtrée dans des lois et des règlements touffus ressemblant à un magasin de porcelaine. Oui les solutions du programme MCG - car il en a  un - peuvent répugner les pseudo-démocrates, droitdel'hommisme rangés, défenseursdesacquissociauxetéconomiques corporatistes que sont devenus les partis de la nomenkatura.

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  • Heureux les pauvres!

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    pauvreté en suisse caritas.jpgOn ne compte plus les études, les articles, les thèses, les indignations qu'alimente la pauvreté! Le sujet est éternel et il n'est pas près de disparaître de nos écrans télé. Chez nous, la pauvreté est souvent médiatisée. C'est que nous ne l'aimons pas, la pauvreté. Elle nous fait peur. Elle nous agresse. Sans doute nous renvoie-t-elle à nos origines, quand nous étions nus, quand nous étions heureux d'avoir ou d'être notre pain quotidien.

    Nous demandons donc à nos gouvernements de bien la cacher, la pauvreté, de lutter contre, de l'effacer. De nos villages et de nos quartiers.

    Quand elle surgit néanmoins, s'agenouille dans la rue, frappe à notre porte, tend la main, elle fait la une des journaux, remplit le courrier des lecteurs. Mais, attend-on alors, que font la police, les services sociaux, les garde-frontières? Ne paie-t-on pas assez d'impôt? Que n'installe-t-on pas des caméras de surveillance tout partout? Allons-nous devoir suivre des cours d'auto-défense, créer des vigiles de voisinage, nous armer? Tel est une des actualités de la pauvreté.

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  • L'homme est incroyable ou increvable

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    127 heures.jpgIl y a une chose qui suscite en moi l'admiration et un étonnement quasi mystique: la capacité des espèces - la nôtre en particulier - de se reproduire presque à l'identique pendant des milliers, des millions d'années, sans pour autant tomber dans le piège du clone, de la photocopieuse - ce que par parenthèse certains blogueurs font de leur blog. La rage de vivre, l'incroyable capacité de se sortir des pires situations.

    Le film sorti hier va sans doute retenir l'attention du public. J'en ai découvert l'existence en lisant Die Weltwoche - pour comparer avec La Cité et revoir ce que pourrait être le projet d'une Semaine du monde romande. C'est l'histoire vrai d'un mec, un brin aventureux, mais pas plus que les dingue qui font du ski extrême, qui s'embarque seul dans un canyon américain. Orange le roc, bleu le ciel. C'est beau la nature. Mais voilà qu'un roc se détache et lui emprisonne la main. Seul, il subit sa torture pendant 127 heures avant de décider de se couper l'avant-bras. C'est une histoire vrai et c'est tourner par

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