Très intéressante l’interview du prof Afksendiyos Kalangos. Qu'en pensent les grands pontes de l'hôpital? Je ne suis pas assez introduit au boulevard de la Cluse et je n'ai pas le temps d'enquêter mais tout de même l'interview publiée la semaine passée dans la Tribune devrait réveiller - s'il est endormi - le lanterneau politico-médicalo-universitaire du canton.
Le patron de la Chirurgie cardiovasculaire dit deux choses préoccupantes.
1) il a été mobbé durant tout son séjour à Genève par des jaloux,
2) En le forçant au départ, Genève rate la mise en orbite internationale de son hôpital universitaire et risque donc sa possible marginalisation par les universités d'autres pays plus enclines à exporter leur savoir-faire.
Info ou intox?