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  • La pression blochérienne

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    La pression blochérienne va être totale encore pendant 17 heures. Jusqu'à demain matin 0800. Normal, Blocher et ses caciques vont tout tenter pour éviter la rupture du front UDC. Envoyez des messages à vos parlementaires pour les soutenir ainsi qu'à Mme Widmer-Schlumpf à Eveline.Widmer@dfg.gr.ch.

    On trouve leurs coordonnées sur le site du Parlement.

  • Plan B

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    Le suspense est à son comble. Et si Mme Widmer-Schlumpf refusait son élection? Personne n'ose le croire. Mais les meilleures stratégie peuvent avoir des failles. Ce serait alors la fin de la formule magique et 30% du corps électoral ne seraient plus représentés au Conseil fédéral que par Samuel Schmid qui de demi-conseiller fédéral passerait au rang de conseiller fédéral hors sol.

     

    Et si le plan B était tout simplement la scission de l'UDC, le retour du vieux PAB fréquentable (issue d'une dissidence du parti radical dans les années 20) et du parti démocratique grison? Vous avez dit complot? Décidément la politique suisse réserve parfois de sacrées surprises.

  • L'image de la Suisse et le suffrage universel

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    Christophe Blocher ne sera pas président de la Confédération en 2009.

     

    C'est peut-être cette perspective désastreuse pour l'image de la Suisse qui a fait basculer une partie des élus à Berne et les a convaincus de mettre un terme prématuré au fameux dilemne: "Il vaut mieux avoir le chef de l'UDC dedans que dehors". 

     

    Blocher dehors et l'image de la Suisse blanchie, les Suisses doivent s'attendre à voter sur une initiative pour l'élection du Conseil fédéral au suffrage universel. La parole au peuple!

     

    Les Suisses sont-ils prêts à l'aventure? Pas sûr. Le verrou de la double majorité du peuple et des cantons devrait nous préserver de ce fantasme et de cette porte ouverte à la démagogie. Il est très probable en effet que les petits cantons et les cantons romands refusent ce surcroît de démocratie de crainte d'en faire les frais.