Derrière les statistiques des hommes, des femmes, des jeunes, des familles. Des histoires personnelles diverses, complexes, des victimes de creux économiques, des malchanceux en série, des handicapés de toute sorte,des fourmis sans formation, des qui savent pas ou n'osent pas se vendre, des cigales aussi, des paresseux? Ouh là, les mots sont connotés. Danger de mauvaises interprétations!
La lecture de la page événement consacré au chômage des jeunes ce matin dans la Tribune me renvoie à la série de trois papiers que j'ai publiés sur le site de la Tribune il y a quinze jours. Des papiers qui ont suscité un vif intérêt et ont été abondamment commentés.
Deux approches diamétralement opposée de la panne de travail, celle qui s'inscrit dans les courbes des économistes et celles que vivent des familles, quelques milliers de familles à Genève, des dizaines de millions en Europe.