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Vu du Salève - Page 16

  • Arc-en-ciel

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    Capture d’écran 2021-05-18 à 15.16.06.pngCe 17 mai, c'était la journée contre l'homophobie, la bi- et la transphobie, etc.. La Ville de Genève a manifesté sa solidarité avec les mouvements LGBTIQ+, une tradition depuis 2012, notamment en pavoisant le pont du Mont-Blanc aux couleurs arc-en-ciel et en affichant la couleur. Ma commune de Bardonnex n'a pas levé le drapeau au giratoire de Compesières comme elle l'a fait du drapeau tibétain en mars.

    Toute minorité a droit à l'attention commune. Mais toutes n'ont pas la même exposition ni la même sollicitude publiques. 

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  • Drapeau palestinien à Compesières?

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    IMG_3146.jpegMême le roi Salomon et toute sa sagesse serait bien incapable de régler le conflit israélo-palestinien. Tous ceux qui ont tenté ou prétendu apaiser les tensions, pacifier la cohabitation ont échoué. Défiler dans les rues européennes, dénoncer le plus fort, soutenir le plus faible, c'est prendre le risque d'une averse en mois de mai bien arrosé et d'un coup de projecteur au 19:30. Un échange sur Facebook retient cependant mon attention.

    Et puis me vient cette réflexion. Que va faire ma commune, elle qui a arboré le drapeau tibétain au carrefour de Compesières durant un bon mois ce printemps? Va-t-elle placer la drapeau palestinien?

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  • Petits et grands influenceurs

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    71D899A3-1B0B-42F1-8BF9-4085B526C04C.jpegPour vivre heureux vivons cachés. Les influenceurs, les créateurs en ligne, les blogueurs et autres tweeteurs ne sont pas amis de cette maxime. Ils ont tous besoin d’être vus, lus, entendus, likés, de faire le buzz et le ramdam. Et assument cette autre maxime: qui expose s’expose. Certains en font un métier, une poignée en tire profit.  La dernière livraison de The Economist consacre un long article sur ces serfs de la création, dont les réseaux sociaux tirent leur fortune. Facebook le premier d’entre eux dans le monde non chinois, c’est 2,8 milliards de contributeurs gratuits et 92 milliards de chiffre d’affaires. 

    Mais voilà que des serfs plus doués et alertes que les autres s’émancipent et se font payer et courtiser pour s’afficher. Rien de très nouveau au fond: les coachs et prometteurs de bien-être vivent du crédit de leur client  - les médecins patentés du corps et de l’âme sont même remboursés par la sécurité sociale - mais de nouveaux acteurs profitent des dernières apps mis en ligne par tout sauf des philanthropes qui cherchent fortune eux-aussi sur les réseaux. Je retiens l’histoire de ce journaliste sportif Craig Morgan.

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