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Politique genevoise - Page 100

  • Merkel est pour le salaire minimum, le PDC genevois est contre

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    merkel sur fond bleu.jpgAngela Merkel se serait convertie au salaire minimum. En ces temps de néolibéralisme triomphant, la chancellière est contrainte de revoir son cathéchisme. Elle a déjà biffé le chapitre nucléaire. Elle devrait accepté ce week-end l'appel de sa base à un salaire minimum.

    Sur le sujet, les Genevois sont appelés à voter le 27 novembre. C'est le point 5 des votations cantonales, les premières où tous les citoyens, c'est à dire moins d'un habitant sur deux du Grand-Genève ont le droit de vote. Le PDC genevois est contre le salaire minimum. Où est l'erreur.  Serait-il plus à droite qu'Angela?

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  • Genève biffe rupestre mais en reste à l'Escalade

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    metropole lemanique.jpgLa métropole lémanique est née. Bon, et maintenant, on va faire quoi avec les Vaudois?

    La corbeille de la mariée est un peu vide, surtout pleine de bonnes intentions. On veut sans doute un joli RER de Martigny à Evian et de Neuchâtel à Bellegarde et Annecy. Ah non, la chose n'a pas été évoquée hier dans l'austère château de Prangins. D'ailleurs ni les Valaisans ni les Neuchâtelois ni les Savoyards ni les gens de l'Ain n'ont été invités aux fiançailles.

    Genève ne traite plus Lausanne de rupestre, mais en reste à l'esprit de l'Escalade, l'esprit d'une ville assiégée, investie par des manants qu'elle supporte - elle manque tellement de têtes et de bras - mais qu'elle n'aime pas.

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  • Et bien mon Coquoz, le PDC la joue à quitte ou double

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    Coquoz christian 2010 à droite dessin à l'encre.jpgAvec Chrstian Coquoz, le PDC tient enfin l'homme qui lui permettra d'accéder à une des fonctions majeures de la République qui lui a échappée jusqu'à présent. Christian Coquoz n'est sans doute pas un candidat ad interim, désigné pour deux ans par le Grand Conseil.

    Pas plus qu'Olivier Jornot ou Yves Bertossa ou les autres papables que d'aucuns, à gauche notamment, voudraient voir se transformer en zorros chassant les gnomes de la finance, en clone des Dick Marty et autres Bernard Bertossa, alors que le code pénal a changé, que la criminalité économique et financière est désormais l'affaire du Ministère public fédéral (mais la nostalgie fonctionne au max chez les indignés de tous bords) et que le Palais est devenu une grosse machine délicate à gérer .

    Or donc le PDC tient son os. Parviendra-t-il à convaincre ses partenaires du PLR et ses adversaires de la gauche de le soutenir le 1er décembre prochain? La réponse tient dans une équation à plusieurs variables.

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