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Monde - Page 26

  • Paul, un radicalisé déradicalisé?

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    "La Bible, un livre violent ?" Oui, dit Vincent Schmid, ancien pasteur de la cathédrale de Genève, dans son dernier blog, en écho aux attentats djihadistes et - mais Schmid ne le cite pas - à la thèse polémique d'un "islam conquérant", exposée dans un essai contesté du pasteur vaudois Shafique Keshavjee.

    Un homme violent peut-il changer? Oui, répond Schmid. Exemple: Paul de Tarse.

    L’apôtre était-il un radicalisé qui aurait été déradicalisé? Qui l'a remis sur le droit chemin? Comment? A-t-il suivi un cours de déradicalisation imaginé par un Gérald Bronner de l'époque?

     

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  • L'écospiritualité de Marie Cénec, une démocratie-chrétienne peinte en vert?

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    Au bout d'une demi-heure de glose sur notre finitude 1), je me dis: comment une femme, dont le genre peut seul - jusqu’à présent - donner la vie, comment un esprit aussi vif, peut-elle parler de la mort à un auditoire dont l'âge moyen a dépassé largement celui de l'AVS.

    Cette mort est horrible témoigne l'oratrice qui s'y connaît. Pourtant,  elle est là, présente tous les jours. Pas un un ne passe sans que des millions de nos cellules meurent et se renouvellent. Jusqu'à l'instant final où, même si l'on croit en la vie éternelle, plus jamais ce ne sera comme avant.  

    Cependant, "à ne plus accepter de mourir – ce qui se traduit par les excès du transhumanisme ou du « prolongisme » – l'humanité est prise dans une fuite en avant qui semble contribuer de manière de plus en plus active à l’extinction de son espèce… C’est une forme de logique suicidaire dans laquelle notre espèce s’est engagée." 

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  • Le troisième combattant

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    comite international emblème.jpgMais qu'est-ce qui les pousse à s'engager au coeur de la guerre, dans des causes apparemment perdues ces délégués du CICR, ces engagés de la coopération au développement, ces sans-frontiéristes de tout poil: médecins, infirmiers, ingénieursagronomes, pompiers, charpentiers... Le film de Romain Guélat et Jean-François BergerDocteur Junod, le troisième combattant, présenté hier soir à l'Alhambra - ne répond pas vraiment à la question. Est-ce que Survivor, donné ce soir à la Maison de la Paix dans le même cadre du FIFDH, y répondra mieux?
     
    Mais, dira-t-on, en ce temps sans perspectives, sans autres convictions (oserais-je écrire foi?) que celle de la peur de mourir du réchauffement climatique ou de l'ingestion de nourriture non bio et sans frontières, qu'importe la motivation personnelle, c'est l'engagement qui compte. Sans doute. Mais pourquoi si peu s'engage et pourquoi s'engage-t-on si peu? Pourquoi certains frères humains s'engagent-ils dans des causes humanitaires beaucoup plus que d'autres, parfois au péril de leur vie et souvent de leur carrière? Qu'est-ce qui les motivent? 

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