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Gestion publique - Page 187

  • Le FMI, bouc-émissaire de l'OMC

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    sudonline.pngDans une intéressante interview de l'ambassadeur luxembourgois Feyder, préposé au Pays les moins avancés à l'OMC, Gorgui Ndoyé, journaliste sénégalais basé à Genève, revient sur les causes de l'échec du cycle de Doha, un article publié par Sudonline:

    • refus de certains pays de s'ouvrir davantage,
    • inadéquation du calendrier (présidentielles américaines en novembre et renouvellement de la Comission européenne en 2009),
    • manque de coordination avec d'autres acteurs de la gouvernance mondiale, le Fonds monétaire international en particulier, dont les politiques d'ajustement structurelles ont profité aux exportations agricoles souvent subventionnées des pays du nord.

    Ce que ne dit pas mon ami Gorgui, c'est que les politiques d'ajustement structurel répondaient et répondent toujours à l'obligation de remettre sur pied des pays en faillite, en raison d'investissements erronnés et de dépenses publiques inadaptées, notamment en matière d'armement. Sans parler de la gangrène du clientélisme et de la corruption.

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  • Fainéantise et conservatisme

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    Un commentaire critique posté par Sandro Minimo sous mon dernier billet m’incite à apporter quelques précisions et un embryon de réflexion quant à la fainéantise supposée des habitants du sud et à leur conservatisme.

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  • Doha, c'est fini, hélas!

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    lamy 2.jpgLes paysans suisses crient victoire et s'économiseront un référendum. Le cycle de négociations multilatéral de Doha, dont la naissance s'opérait aux forceps à Genève est mort né,. La résistance paysanne matinée de guillaumetelisme est de bonne guerre. Comment leur reprocher leur refus de devenir pour la plupart des jardiniers du paysage, des sous-fonctionnaires ou assimilés, dont les modes de production sont et seront de plus en plus réglés par des fonctionnaires qui eux sont grassement payés et ne prennent aucun risques économiques?

    Il serait d'ailleurs intéressant de calculer le taux d'encadrement public ou parapublic de la paysannerie. A Genève, je parie qu'on ne doit pas être très loin d'un fonctionnaire par patron paysan à plein temps.

    N'empêche, l'échec de Doha est une mauvaise nouvelle pour le monde.

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