Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 5

  • Hiltpold trahit le radicalisme

    Imprimer

    chèque scolaire.jpg"A l'origine de l'école publique obligatoire, notre parti ne veut pas d'un système qui menacerait l'égalité des chances." La déclaration du président du parti radical genevois et conseiller national Hugues Hilptpold, publiée ce matin dans la Tribune, est stupéfiante et explique bien la sclérose actuelle du grand vieux parti. Refuser le chèque scolaire que promeut depuis quelque temps le Lobbyparents en Suisse relève du même conservatisme qui fait de nos villes des cités musées - encore que les vrais musées ne sont pas des vitrines - où il n'est plus possible d'y concevoir ni d'y installer des objets contemporains, sinon ces rehaussements d'immeubles métal-verre qui sont autant de coiffures pseudo-modernes de la molasse fazyste.

    Lire la suite

  • Le M2 et le CEVA, Lausanne et Genève

    Imprimer

    m2.png"Le CEVA et le M2 (voir aussi ici et ) ont démarré en même temps, en 2002 1). Le métro lausannois sera inauguré cet automne, la première pierre du CEVA n'est pas encore posée." Xavier Comtesse aime les formules qui font mouche. J'ajoute que si le CEVA ne démarre pas d'ici la fin de l'année, Genève risque de perdre la manne fédérale. Où est le problème? Selon l'agitateur d'idées d'Avenir Suisse, Lausanne a un patron - Olivier Francais, municipal lausannois, conseiller national radical, dont la RSR suit le quotidien cette semaine. A Genève, Cramer a passé la patate chaude du CEVA à Muller qui se débat dans un département où la culture jacobine et grobétienne verrouille l'urbanisme cantonal jusqu'à la couleur des façades et à la forme des fenêtres.

    Lire la suite

  • Au secours!

    Imprimer

    caducee.jpgElle est toute menue, paraît un peu stressée. Ses long cheveux noirs tombent sur sa blouse blanche, encadrent un visage un rien fatigué. Son regard éperdu débordant d'émotions anciennes appelle au secours. Elle dit d'abord non. Je n'ai plus de sous... Puis se ravise. Elle me prend à témoin, formule une question en forme d'affirmation: "N'y a-t-il plus assez de chétiens dans les églises? - Je viens de lui proposer de mettre une publicité dans le programme de la Kermesse de Compesières - Elle reprend: "Oui, je sais, il n'y en a plus! La fin de la religion, c'est une catastrophe!"

    Lire la suite