Un collègue me signale la nouvelle. Publiée par le New York Time, relayée par un blogueur du journal Le Monde et quelques autres médias: "Le pétrole a pratiquement disparu de la surface du Golfe". Le titre exact est que le pétrole disparaît rapidement. Ce qui n'étonne pas le scientifique qui sommeille en moi.
Si les bactéries semblent avoir fait leur beurre du cacao hydrocarburé, les poissons et les autres espèces plus complexes ont passé un sale quart d'heure. Reste que cette catastrophe n'est pas la fin du monde du Golfe du Mexique. Pas plus que les feux de forêts sont la mort des forêts et le réchauffement climatique la fin de l'homme sur terre.