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Vu du Salève - Page 307

  • Les deux faces de Libération

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    Capture d’écran 2014-10-24 à 20.32.03.pngJ'ai acheté hier Libération en papier. 1€ 70 en France, 3 fr 30 à Genève... 0€79 par abonnement sur iPad... Que vaut l'information? Il paraît que le prix Nobel 2014 a précisément étudié le casse-tête des entreprises à clients multiples, celles comme la presse qui vendent à des lecteurs mais aussi à des annonceurs. Sans parler des politiques qui, sans les médias, n'existeraient tout simplement pas.

    Ainsi pour revenir à nos préoccupations "Vu du Salève", Léman Bleu a jusqu'à l'an dernier diffusé les séances du Grand Conseil genevois pour 200'000 francs, sans ajouter une once de plus-value rédactionnelle, tandis que la Tribune a délégué régulièrement un journaliste qui publiait une synthèse des débats (ce qui est généralement un tour de force), gratis pour la République.

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  • Sicli: remarquable gaspillage!

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    IMG_1098.PNGJe tombe par hasard sur une rediffusion sur Leman Bleu de Sicli, une ode au bâtiment des architectes, une coquille d'œuf en béton armé au coeur du PAV. Les présentateur d'Urban Lecture n'ont pas de mots assez forts pour chanter la qualité, l'audace, le modernisme de l'ancienne usine devenue espace dédié à l'architecture et à l'urbanisme.

    Sauf, qu'aujourd'hui on ne pourrait plus construire un tel bâtiment. C'est sans doute une des passoires à énergie les plus formidable du canton. Mais nos architectes n'en disent mot.

  • 68? Non 36,9!

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    Capture d’écran 2014-10-24 à 20.50.58.pngDifficile le débat lancé par 36,9. Moncada est sensible, souvent pertinente. Ce soir, elle n'a que brassé des poncifs. Sans doute le sujet abordé est-il trop vaste, trop douloureux, trop étranger à la vie qui va. Les malades, les vieux ne font pas la une des journaux.

    Ils sont solitaires, les vieux. Ils s'en plaignent. La belle affaire.

    On a donc eu droit à des louches et des louches de bons sentiments, de pétitions d'intention, de pas mal de y'a qu'à et de beaucoup de faudrait qu'on. C'est oublier que les vieux sont comme des gamins. Tous les six mois, ils changent, leur vision des choses se modifie à leur corps défendant, leurs besoins ne sont plus les mêmes. Les uns grandissent, s'émancipent, se renforcent, se libèrent, les autres rouillent, angoissent, dépriment, s'enferment.

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