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Politique - Page 160

  • Royal en blanc et en panne de lumières!

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    Elle a un superbe prénom la madonne des Français, mais un nom... impossible. Séduira-t-elle assez de femmes pour changer le visage de la France comme elle dit?

    "Françaises, Français" son entame est gaullienne, mais le ton n'y est pas et la mine un brin coincée. Lumière!

    "La France va choisir son destin et son visage." La socialiste parle d'une République du respect, de la justice sociale, mais trébuche aussitôt dans le technolangage. Il faut "changer de système qui ne marche plus", un objectif qui renvoie au piteux slogan de Jospin "Gouverner autrement!"

    Où est la foi, où est le lyrisme?

    Elle promet une bonne gestion au quotidien. Elle parle des intérêts de la France en Europe et dans le monde, associe ceux-ci au redressement de l'Europe et promet un nouveau référendum sur la Constitution européenne.

    "Venez forces vives de notre belle nation! Ensemble nous allons redonner le sourire à notre pays! ... J'appelle toutes les énergies à se mettre en mouvement"

    Que va-t-elle offrir à Bayrou et à ses 18% d'électrices et d'électeurs? Je serais tenter d'écrire qu'a-t-elle à offrir?

  • Bayrou rêve sur fond rouge

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    "J'ai, ... j'ai..., j'ai, j'ai une bonne nouvelle pour vous! ... La politique française ne sera plus comme avant." Ah, bon! "Il y a enfin un centre indépendant en France." Certes mais le centre n'est pas majoritaire. Donc, le centre, éternelle troisième force, va devoir vendre son âme au plus offrant.  

    Le fond orange virait au rouge hier soir. Un arrière-plan qui rappelle étrangement l'écran de Jospin en 2002, inaugure-t-il une alliance centre-gauche?

    Au plus offrant, je vous dis.

  • Sarko ne fait du pied à Bayrou

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    "Les Français attendent un débat d'idées." Sarkozy le pense-t-il vraiment? C'est le pouvoir qui est en jeu. Et l'échelle des valeurs du petit Nicolas, c'est l'identité de la nation, le travail, le mérite. Un rêve français? Avec qui? Sarkozy respecte sa concurrente, mais ne dit pas un mot de son futur allié, François Bayrou. Fine stratégie. Dans la rue, il fait parler ses troupes qui déjà clament: "Bayrou avec nous!". "Santo subito" claimait la foule aux obsèques de de Jean Paul II.