Pour un vieux catho comme moi encore un peu pratiquant - j'assume ma singularité - le temps de Pâques est un émerveillement. Comme beaucoup, je me retrouve confronté à ces questions éternelles, lancinantes: la vérité, l'amitié vécue, niée, l'opposition d'un seul contre tous, la souffrance, la torture, la mort, la nature de la chair, la vie, le témoignage véridique.
Bien sûr, on peut dire que tout cela n'est que jus de crâne, aller chercher le soleil au sud et se rendre compte en rentrant qu'on aurait mieux fait de rester à Genève...
Je n'ai pas la prétention de philosopher davantage. C'était juste une réflexion en passant. Et je retiens pour l'heure, car mon blog est aussi pour moi un façon de conserver quelques liens...