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Information - Page 40

  • Une bonne guerre....

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    image.jpgLa guerre donc. C'était le titre de l'éditorial du Figaro du 8 janvier. C'est l'option subliminale du journal Le Monde qui consacre toute son édition du 9 janvier à l'attentat qui a fauché 12 personnes chez Charlie Hebdo. Et fait sa une sur le 11 septembre. Le 11 septembre a déclenché la deuxième guerre d'Irak et la chasse à Ben Laden. Avec les conséquences que l'on sait.

    C'était de bonnes guerres, des combats pour la démocratie et pour la liberté. Surtout la liberté du commerce dont les effets peuvent être meurtriers. Aux États-Unis, le Patriot Act n'a pas particulièrement élevé le degré des libertés individuelles... Dégâts collatéraux d'une guerre juste, d'une guerre sainte...

    Tout de même, une bonne guerre, ça remettrait pas de choses en place. Non?

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  • Sur nos monts quand le soleil...

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    P1060344.JPGLes Suisses ont vibré dimanche à l'exploit de leur icône nationale qui a finalement daigné jouer en équipe. Ayant ravi tous les autres trophées, il lui restait un dernier, la coupe Davis, à accrocher à son plastron, tels ces généraux d'empire couverts de médailles. C'est fait. La lutte fut belle. Celle du second surtout, Wawrinka qui le voulait ce saladier d'argent sans doute autant sinon plus que l'étoile Rog.

    "On est des champions, on est des champiooonnnns, chantent les fans heureux de grappiller des bribes de bonheur. Point de sang sur le terrain, point de dopage, point d'esclaves, point de rapines. Dans la longue histoire des trophées et des triomphes, des vainqueurs et des vaincus, on dira que le sports remplace avantageusement la guerre.

    Point d'hymne national non plus cet après-midi à Lausanne. Des applaudissements chaleureux, des mercis tout plein, des incroyables à la louche. La messe est dite. Une belle fondue moitié moitié.

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  • Ciel, le Temps lorgne sur Lausanne! Qui s'en émeut?

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    Soixante kilomètres, une demi-heure en RER, moins que ce qui sépare la banlieue nord et sud d'une vraie métropole, de celles qui topent à 3 millions d'habitants ou plus, bref rien a voir avec Geneve et Lausanne, deux minipoles qui, glose la RTS, en ce 2 juillet, rivaliseraient pour être la capitale de la Romandie.

    La migration du journal Le Temps à Lausanne, évidente depuis son rachat par un des deux grands éditeurs du pays, tous deux basés à Zuriich, offre l'occasion de rebrasser le brouet. Pour être inviter sur le plateau, il faut avoir tweeté sa peine. Ce qu'a fait le grand Manuel, le jamais maire de Genève, qui ne se console pas de n'avoir pas été ici ce que les Delamuraz ou autres Brelaz sont à Lausanne, des chefs durables. On a donc droit aux poncifs du bout du lac du nostalgique de service qui croit penser global et ne peste que local.

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