Une, quatre, cinq, douze, quarante-cinq, soixante? Quel sera le nombre des communes genevoises au terme du processus de révision constitutionnelle en cours. Quatre est le chiffre magique des socialistes. Ils copient en quelque sorte la réforme des collectivités territoriales de l'ancien premier ministre français Balladur au président Sarkozy. Le constat: il y a trop de communes, elles sont trop petites, elles sont obligées de collaborer dans des schémas opaques, coûteux, divers et variables fort peu démocratiques.
La solution: Balladur propose progressivement - il faut ménager les susceptibilité et les fiefs locaux - de tranférer le pouvoir municipal aux intercommunalités.
A Genève, cela prendrait la forme de disctricts au nombre de quatre donc, selon un découpage que l'histoire et mère nature propose: