La Nuit de la science 2010, proposée par le ministre de la Culture de Genève, nous invite cette fin de semaine à nous confronter aux extrêmes et aux limites. Le programme est alléchant.
La Nuit de la science se hisse tranquillement au rang de festival. Confrontée cette année à la rude concurrence de la Lake Parade, de la Coupe du monde de football et, dimanche après-midi, au Tour de France qui contournera le canton, la Nuit se déroulera pourtant sans étoiles: pas de Prix Nobel à la Perle du Lac.
Comme tout festival, c'est néanmoins un véritable marathon, somme toute assez frustrant. Personne à l'évidence ne peut participer ou assister à tous les rendez-vous. L'ubiquité est une frontière humaine que les organisateurs de festival se plaisent à ignorer.