Ce lundi, nous avions atteint le jour de la vie à crédit, rappelle ce matin Libération qui cite footprintnetwork.org et sacrifie au rituel du nostra culpa moderne. Nous - les riches - consommons trop. L'effondrement - le collapse - a déjà commencé. Les mouches qui nourrissent les oiseaux ont disparu dans nos environnement aseptisés (au fait, nos pschitt et autres bougies, bâtonnets et autres arômes d'ambiance même bio ne sont peut-être pas sans conséquence)... Alerte! Que fait la police!
Pour faire bon poids (!), Libé cite en premier le pape pape François, "qui exhorte les Etats à agir pour lutter contre le changement climatique «parce que notre survie et notre bien-être dépendent de cela»." Le pape François est à la tête d'un peuple qui sait que s'approprier les ressources plus que nécessaire et de ce fait priver son prochain des fruits de la terre est péché de gourmandise et qu'il sera plus difficile à un riche d'entrer au paradis qu'à un chameau de passer par le chat d'une aiguille.