C'est notre gouvernement, malmené à tort par des députés dispersés et opportunistes et qui n'assument pas le fait que le contrôle des comptes ne consiste pas à augmenter les dépenses là où ça fait vibrer la corde de leurs électeurs, mais, par exemple, à comparer avec d'autres semblables si nos rapport coûts bénéfices de nos politiques publiques pourraient être améliorés..., c'est notre gouvernement donc, me rappelle Heidi.news, qui invite depuis le 20 juillet les Genevois à répondre à la question: «Quel type de développement voulons-nous pour Genève?
Il y a un an, le même gouvernement demandait Quelle Genève en 2050? Pour quel résultat?
Notre démocratie populaire n'est plus comme jadis tempérée par des partis et des députés soucieux de garder l'Etat dans un rôle subsidiaire, laissant aux génies des humains, des familles, des entreprises, des associations, des syndicats, des fondations, des communes, des voisinages le soins de créer le bien commun. L'Etat est de retour au contraire, dit-on en ce temps peureux. Il faut s'en inquiéter.