Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Economie - Page 20

  • Si Zurich avait la taille de Genève, combien de frontaliers?

    Imprimer

    frontaliers Genève Zurich.jpg

    Il faut arrêter de tirer à vue sur les frontaliers dont l'augmentation de l'effectif est mis en exergue par la presse et l'office cantonal de statistique. Ces travailleurs contribuent à la richesse de Genève autant que les Genevois. Ils disposent de compétences que les chômeurs n'ont malheureusement pas ou exercent des fonctions que les habitants du canton rechignent souvent à exercer. La part des impôts qu'ils paient est bien supérieure à celle qui est rétrocédée à leur commune de résidence.

    Mais surtout, les frontaliers n'existent en nombre à Genève, (ainsi qu'au Tessin et dans une moindre mesure à Bâle) qu'en raison de l'existence d'une frontière nationale.

     

    Lire la suite

  • Bardonnex Alternative renaît et déplace 35 personnes à l'Eki-Thé

    Imprimer

    coût syst sante suisse 2017.jpg

    La réunion politique convoquée par Bardonnex Alternative est locale, Elle a lieu à l'Eki-Thé, un commerce équitable, qui vit sans doute ses dernières semaines à la Croix-de-Rozon, à moins qu'un nouveau collectif ne reprenne les rênes de l'épicerie tea-room et y installe une halte postale (La Poste voisine va fermer) et quelques autres services à l'intention des quelque 1800 habitants de ce village frontalier. (De l'autre côté, la bourgade de Collonge-sous-Salève est en pleine croissance et compte une bonne trentaine de commerces divers et restaurants)

    Les thèmes du débat sont nationaux et même planétaires. Il s'agit pour quatre candidates et un candidat au Conseil national de livrer leur recette pour réduire la hausse des primes maladie et réduire le réchauffement climatique.

    Mission impossible qui très vite se résume aux slogans et postures mille fois entendus.

    Lire la suite

  • Une semaine sans viande et une sans chauffage

    Imprimer

    thermometre paris.jpgMais que fait la police! Ce que je reproche un peu aux marcheurs climatiques, tous âges confondus, c'est que la peur les motive - la peur de la canicule, de la montée des eaux, de la fonte des glaciers, des ouragans - et non un monde plus juste et plus pacifique. Ce que je reproche un peu aux marcheurs climatiques, c'est que l'Etat doit décider et faire le bonheur national brut (BNB) et non les gens eux-mêmes.

    Certes, je ne suis pas assez naïf pour croire que la main invisible du marché (ou de l'Etat) peut faire le BNB, même The Economist, qui consacre son édition de cette semaine onusienne à la crise climatique, n'y croit plus non plus. Et que les Etats, faute de mieux - c'est-à-dire nous dans les Etats démocratiques - doivent collectivement inventer des règles du jeu marchand qui nous incitent à moins produire de gaz à effets de serre. Non pas par peur d'un hypothétique enfer sur terre mais pour la simple économie des ressources rares et non renouvelables. Vaste défi.

    A notre niveau, nous pourrions opté pour une semaine sans viande et, cet hiver, pour des chambres et des bureaux à 18 degrés voire moins.

    Lire la suite