Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Affaires fédérales - Page 98

  • Retraites des Suisses: le Zurichois Welti contre le Genevois Ducommun

    Imprimer

    Ducommun Welti.jpgA ma gauche l'ancien patron du cartel intersyndical des fonctionnaires du canton de Genève, Michel Ducommun, ancien prof de math à l'Ecole d'ingénieur, prépare la révolution... des retraites. Dans son blog, il explique que le système actuel plume les retraités et que son projet d'une AVS unique, adossée à un fonds de réserve (une épargne façon 2e pillier mais solidaire) pourrait assurer à tous des rentes de 3500 francs au minimum (10500 au maximum). A suivre

    A ma droite, l'actuel patron de la caisse de retraite de la Ville de Zurich, Ernst Welti, inconnu de ce côté-ci de la Sarine, mais également mathématicien, qui donne le ton à toutes les caisses publiques suisses alémaniques et constate que le Roeschtigraben marque une réelle différence de mentalité entre Romands et Alémanique.

    Lire la suite

  • A quand un contrôle antidopage des quidams?

    Imprimer

    médicaments ds mains de vieux.jpg"Enhancement", le mot figure dans un bien intéressant article publié ce matin dans mon journal préfèré (édition électronique ici). Le patron des toubibs suisses met le doigt sur un des maux aussi vieux que le monde, qui est au coeur même de l'histoire d'Adam et d'Eve, le refus de vieillir, de la déchéance, de la mort. De tout temps la pharmacopée a proposé des cures de jouvence, des panacées, des antirides et autres stimulateurs.

    Les médecins sont comme le serpent de la Bible, prescripteurs, parfois à leur corps défendant, de ces élixirs de vie.

     

    Dites-moi...

    Lire la suite

  • Minder: leur donner une bonne leçon?

    Imprimer

    Minder.jpgQuelle prétention! Mais c'est la démocratie. Or donc le bon peuple suisse, qui, faute d'avoir toujours raison, devrait selon certains avoir toujours le dernier mot, dira le 3 mars s'il faut confier aux conseils d'administration la tâche de fixer les rémunérations des top chefs de quelques top entreprises, celles qui acceptent ou sont contraintes de se soumettre aux règles des marchés boursiers. 

    Paradoxe les acteurs de ces mêmes marchés - au nombre desquels on trouve nos caisses de pension et leur représentants aux conseils d'administration - poussent ces entreprises à des rendements élevés. Mardi soir, dans l'émission Le Monde d'après de France 3, de doctes économistes ont montré que la dictature des marchés et la gourmandise des actionnaires mènent  à un fol emballement. Qui fait peut-être le beurre des rentiers, mais pas forcément le bonheur des travailleurs. 

    Lire la suite