Je viens de lire la dernière chronique de Paul H. Dembinski parue ce jour dans mon journal préféré: Les ménages suisses, cet employeur essentiel. Je vous en recommande la lecture. Je l'ai commentée brièvement ce matin sur ma page Facebook où je suis sans doute trop peu présent.
Dembinski y constate que la force grise de travail en Suisse y est sans doute sous-estimée et qu'elle permet des exploitations d'êtres humains tant de la part des employeurs que des loueurs de sommeil peu scrupuleux.
L'autre face du problème est la reconnaissance (c'est-à-dire la rémunération) du travail du parent qui choisit de rester partiellement ou totalement à la maison.
Un gosse bien éduqué et bien socialisé, ça vaut combien?