Mon collègue Jean-Claude Ferrier serait sans doute un excellent blogueur. Mais il craint de mettre le doigt dans l'engrenage, temporise, se fait oublier, dit oui oui pour dire non. Bref le blog n'est pas son fromage. De temps en temps, il m'envoie des petits billets. Comme celui-ci.
Jean-Claude Ferrier
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Violoniste virtuose sous la gare
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A Vancouver, on ne bronze pas, on rouille
Vent, couvert, pluie, neige, les Canadiens de la Colombie britannique acceptent leur climat dans un esprit fataliste, pouvait-on lire jadis sous la plume de leur statisticien en chef : « Chez nous, on ne bronze pas, on rouille ».
Les pluies abondantes de l'hiver n'avaient pas découragé les retraités des armées des Indes, trop heureux de découvrir une riviera britannique sur les rives du Pacifique, à Victoria principalement, pour venir y terminer leurs jours. C'est ainsi que la capitale sise au sud de l'île de Vancouver devint «le cimetière des colonels». Heureux pays où tout citoyen découvrant un lac, il y en a quelque 700'000, peut devenir son parrain et déposer son nom auprès du Comité permanent canadien des noms géographiques.
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Matthias, ancien détenu devenu guide de la prison de la Stasi...
En marge de son papier paru dans l'excellent supplément de la Tribune sur les 20 ans de la chute du Mur, mon confrère Jean-Claude Ferrier me raconte l'histoire de cet autre Allemand de l'Est. A lire ci-dessous