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A Vancouver, on ne bronze pas, on rouille

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vancouver.jpgVent, couvert, pluie, neige, les Canadiens de la Colombie britannique acceptent leur climat dans un esprit fataliste, pouvait-on lire jadis sous la plume de leur statisticien en chef : « Chez nous, on ne bronze pas, on rouille ».

Les pluies abondantes de l'hiver n'avaient pas découragé les retraités des armées des Indes, trop heureux de découvrir une riviera britannique sur les rives du Pacifique, à Victoria principalement, pour venir y terminer leurs jours. C'est ainsi que la capitale sise au sud de l'île de Vancouver devint «le cimetière des colonels». Heureux pays où tout citoyen  découvrant un lac, il y en a quelque 700'000, peut devenir son parrain et déposer son nom auprès du Comité permanent canadien des noms géographiques.

Mon confrère Jean-Claude Ferrier aime les pas de côté. De temps à autre, je lui offre l'hospitalité sur mon blog. En attendant que l'idée d'un blog   germe dans sous sa claviie naissante... A propos de Vancouver, je vous recommande la réflexion d'Yves Jeannotat que cite sur son blog Claire Marie Jeannotat sur son blog Katutura.

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