Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vu du Salève - Page 8

  • Le rapport 2020 de l'Eglise catholique

    Imprimer

    E8DA032A-76F1-4815-827C-AD79DC750220.jpegSoudain quelque chose m'a frappé à la lecture du rapport annuel de l'Eglise catholique de Genève. Mais où sont les catholiques, me suis-je dit? Combien sont-ils? Qui sont-ils? Quel est l'état de leur foi, de leur adhésion au fondamentaux de cette religion, la première du monde en terme d'efffectifs, issue de l'épopée du peuple juif il y a quelque 2000 ans? Des évangéliste américains - forcément - ont lancé le compte à rebours de la fête des 2000 ans de la résurrection du fondateur du christianisme. ça promet... de belles controverses.

    Lire la suite

  • Dieu nous bénira du haut des cieux (bis)

    Imprimer

    839520D9-BCC8-489A-AC75-0E37AAD772E9.jpegA Tokyo, le cantique suisse a résonné dans sa version instrumentale. Combien d’habitants, Suisses ou non, de ce pays - un trou au milieu de l’Europe - ont entonné ce soir l’hymne national? La première strophe évoque le Ciel, où chacun peut loger qui le Dieu fort, qui une énergie ou une pensée, une âme attendrie, cette élévation des accents émus de nos cœurs pieux, que la loi de la gravité se charge de contrecarrer. Les Suisses, qui chôment le jour de la fête national depuis une génération seulement, ne gardent-ils pas, eux au moins, les pieds sur terre?

    La troisième strophe entonnée comme de coutume le 31 juillet à Compesières - ma commune a pris l’habitude de fêter avant les autres à la demande de l’amicale des sapeurs pompiers - pressent le Dieu fort, celui de la tradition judéo-chrétienne, qui est aussi invoqué dans le préambule de la Constitution suisse. « Dans l’orage et la détresse, il est notre forteresse. » Le fut-il dans la détresse virale qui bouleverse notre quotidien?

    Lire la suite

  • Panic et chardons à Bardonnex

    Imprimer

    172D4E30-8E3B-4655-93BE-C528CC070984.jpegC’était la panique dans les campagnes il y a une semaine. Les pluies persistantes et parfois diluviennes promettaient des moissons d’enfer. Mon journal préféré s’inquiétait même d’un pain hallucinogène.

    Dans le même ordre d’idée, on m’a demandé tantôt si le prix de l’eau au robinet allait baisser vu que celle qui tombe du ciel est gratuite… Bonne question mais il faut déchanter.  Le prix de l’eau dépend plus de sa dépollution avant son retour à mère nature que de sa collecte. Aucun espoir donc d’une baisse des tarifs de la part du monopole public. 

    Lire la suite