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Virus couronné

  • «Comportement bah ouais» et poubelles genevoises

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    «Comportement bah ouais /J’ai dit comportement bah ouais /J’suis dans mon comportement bah ouais.» Je ne connaissant cette chanson qui a lancé en 2017 la nouvelle vedette française, Aya Nakamura, jusqu’à la lecture d’un papier ce matin dans Libération dans lequel Guillaume Lachenal rappelle que les injonctions répétées en boucle sur les gestes barrières, la distance social et le port du masque sont des vœux pieux, certes nécessaires, mais insuffisantes dans certaines circonstances pour endiguer et vaincre le virus.

    La preuve à Genève, où la magistrate chargée de la plus noble des tâches, celle de la salubrité publique, annonce dans la Tribune qu’elle va installer plus de poubelles, doubler les tournées de voirie aux endroits stratégiques pour que la ville soit propre durant cette longue fin de semaine, vestige d’une tradition, où jadis les chrétiens, alors très majoritaires, s’interrogeaient sur la mort du Christ et se réjouissait de sa résurrection. Joyeuses Pâques! 

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  • Soyeux morveux

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    C774FDAC-F481-4583-BEE4-671C432AEF4E.jpegMouche-toi! Arrête de renifler! La morve, c’est ce liquide qui coule du nez des enfants.  Peu ragoûtante mais essentielle, la morve contribue à capturer les microbes dans notre nez, là où l’on se loge ce virus couronné qui tient le monde en respect depuis un an.

    Eh bien des chercheurs ont découvert que le masque, obligatoire dès que le présentiel se fait dense, n’avait pas qu’une fonction de filtre mais qu’il contribue aussi à tenir notre nez humide, ce qui est bon pour la morve et son action contre les microbes. . 

     

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  • Des années de vie perdues

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    77377374-6B22-4597-B0D6-D9D8137EA6F6.jpegDans l’actualité de cette semaine normalement hivernale, n’en déplaise à ceux que trois flocons ou quelques degrés sous zéro émeuvent, je retiens cette nouvelle de la surmortalité, en Suisse: onze années de vie perdues en moyenne selon une étude écossaise en cours de validation, citée par Le Temps.

    Où s’en sont allés ces vivants perdus? Au paradis? Onze ans de vie c’est un sacré pactole pour les EMS, semble me dire l’affiche du Matin Dimanche... annonçant un article publié dans La Tribune samedi soir.

     

     

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