"Deux semaines, 10 jours de trading. C'est tout ce qu'il aura fallu au marché pour se retrouver plus haut qu'avant le tremblement de terre japonais. Je crois que ça se passe de commentaire," remarque ce matin Thomas Veillet, alias Morning Bull, dans son blog. Je ne fais sans doute pas partie des hypo ou des hyper, que décrit Bertrand Buchs dans le sien à propos des brasseurs d'argent, mais cette résilience - le mot est à la mode - des marchés financiers, cette capacité à surmonter les crises m'étonne et déconcerte.
Les bourses, les banques centrales et les ministres des finances sauraient-ils mieux gérer l'économie que naguère ou bien, de dettes en dettes, ne fait-on qu'ajouter des emplâtres sur notre grand corps malade?