Il y a quelque temps, j'ai évoqué les épinards pleins de mauvaises herbes d'un maraîcher député, devenu bio - le maraîcher, pas le député qui lui est toujours PLR. Il y en avait tant de mauvaises herbes que la culture avait complètement disparu. Peut-être que cela n'a pas d'incidence pour transformer les dits épinards en bonne soupe, mais quel boulot s'il faut séparer le bon grain de l'ivraie. Heureusement, dans un temps pas si lointain, des robots bineuses viendront prêter main forte aux cultivateurs.
Il se trouve qu'en ce dimanche d'été indien sans fin, la lecture de The Economist m'a à nouveau mis sur la piste des futurs bras qui permettront une culture bio économique.