"La justice pénale genevoise a renoncé à poursuivre l'association Partage au motif, notamment (il y en a donc d'autres que le journaliste, sans doute coincé par l'espace congru de l'imprimé, ne dévoile pas), qu'elle ne s'était pas enrichie sur son dos." La lecture de mon journal préféré, ce matin, m'a à la fois réjoui et inquiété. Dans le cas d’Emmaüs, blanchi aussi, le travail était également illégal, un bénévole nourri et payé 150 fr par semaine pour quelques heures de bénévolat, six durant...
Embaucher un travailleur sans-papiers est donc sans conséquences pénales pour l'employeur, tant que ce dernier ne l'exploite pas et n'a pas l'intention de violer la loi... Tant mieux pour le travailleur et pour l'associations Partage, dont les tribulations polico-judiciaires n'ont pas toujours été aussi sereines ni bénignes (cf les emplois de solidarité).