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  • Balle au centre?

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    multinationales responsables resultats.jpgÀ une large et surprenante majorité de ses délégués dispersés en 13 "cantons" - Covid oblige -, le PDC suisse devient donc le Centre, die Mitte, Alleanza del centro, rien qui ne puisse transcender les frontières linguistiques si importantes d'un point de vue marketing - voyez Sale, Black Friday, click and collect et consorts. Et si le peuple accepte Swisscom, Swisspass, Swissness et même Swiss quoique l'ex-compagnie nationale soit allemande..., il n'est pas prêt de tolérer SwissCenter pour désigner la fusion entre le PBD et le PDC*.

    Les socialistes sont de ce point de vue mieux servis, quoique les partis socialistes n'existent plus ou presque ni en Italie ni en France. Et que la sociale démocratie allemande a depuis belle lurette jeté le marxisme-léninisme, la référence historique, aux oubliettes. Et, à ma connaissance, seul le PLR genevois a tenté un temps La Droite. Quant à Ensemble à gauche, tout le monde sait que le mot ensemble est une infox.

     

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  • Irons-nous patiner sur les marais de Charrot?

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    IMG_2384.JPEGEn m'en allant tantôt à vélo du côté de Meinier rencontrer pour la Tribune du terroir Claude Ménétrey, pomiculteur patenté, paysan, safraniculteur et à ses heures ULMiste chevronné, je suis passé par la plate et renaturée vallée de la haute Seymaz, du côté des ruines du château de Roulebeau, où s'étend aussi un centre sportif intercommunal.

    Novembre divisait la plaine en deux, en haut le brouillard, en bas l'herbe des chanps. Un ciel bouché et uniforme, une terre striée de chemins tirés au cordon et d'un nant, la Seymaz. Le long du chemin du Champ-de-la-Grange, le ruisseau de Moillebeau s'élargit en un étang rectangulaire. Un pont de bois vermoulu enjambe la mare couverte de lentilles d'eau. Sur la berge un arbre git, rongé net par un castor.

     

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  • "Nous avons fait le choix d’espérer"

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    yves combeau.jpgLa covid a plongé l'Occident dans la peur. La peur de mourir. Certes le fléau fauche des vies, surtout des vies de gens qui ont déjà bien vécu et qui parviennent à des âges où la mort est une échéance... naturelle. Ailleurs, la mort est encore fréquente à tout âge, notamment à la naissance, quand ce n'est pas la mère qui est emportée. Nous en Suisse - qui consacrons presque 12% de notre richesse à la maladie, bien plus qu'à notre alimentation, avons réduit presque à néant le risque de mortalité. A force de connaissance, de savoir faire, de technologie, de soins et d'hygiène. C'est l'accident - fatalité ou risques pris - qui vient d'ailleurs en tête des causes d'hospitalisation (StatistiqueSuisse). 

    En comparaison, les francs que nous consacrons à la promotion de la santé, notamment à nous nourrir sainement, sont une piètre fraction des dépenses de traitement, de réparation et de maintien en vie (au début comme à la fin): plus de 80 milliards par an.

    Et pourtant la mort survient. De plus en plus souvent au terme d'une lutte douloureuse, angoissante, ponctuée de rémissions plus ou moins longues, plus ou moins heureuses.

     

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