Eclipsée par l'heureuse et sensationnelle libération d'Ingrid Betancourt, l'interview que le nouveau président russe a donné à huit journaux, dont Le Figaro, des pays du G8 qui se réunissent lundi au Japon vaut une lecture attentive. Pas seulement parce que la Russie forte de ses matière premières, pétrole et gaz en tête, est redevenue un acteur clé de la scène internationale et entend désormais y jouer à nouveau les premiers rôles. Deux propos de Dmitri Medvedev ont retenu mon attention. Notamment ceux sur la corruption et sur l'exercice du pouvoir.
Sur la corruption, cette phrase: "C'est impossible de s'attaquer à la corruption dans un pays pauvre."
"Nos priorités pour les quinze à vingt prochaines années ont été définies il y a huit ans. Nous voulons créer un pays développé, avec une économie saine et forte, nous voulons vaincre la pauvreté et la corruption pour le bien de la population, nous voulons établir des relations amicales avec nos partenaires étrangers. Ces buts ne seront pas changés, quelque soit le chef de l'Etat. C'est ma position. Et je pense que c'est ce que le peuple russe attend de nous.L'un des problèmes les plus aigus, dont je n'ai pas seulement parlé mais que j'ai commencé à combattre, c'est la corruption. Malheureusement, peu a été accompli ces dernières années sur cette question. A présent que nous avons remporté des succès financiers, il est grand temps de s'attaquer au problème. C'est impossible de s'attaquer à la corruption dans un pays pauvre. "
.
Sur l'exercice du pouvoir: "Souvent, l'homme élu président a une grande expérience de parlementaire mais ignore comment l'exécutif fonctionne."
"Je compatis pour mes collègues américains car souvent, l'homme élu président a une grande expérience de parlementaire mais ignore comment l'exécutif fonctionne. Mon travail de l'année dernière (comme premier vice premier ministre, NDLR) m'a donné une expérience irremplaçable, qu'on n'acquiert pas en prenant conseil. C'est pourquoi je pense que j'étais bien préparé à gérer les affaires de l'Etat. Dans mes fonctions précédentes, j'aidais le président à trouver des solutions et je prenais mes propres décisions. Au fond je fais le même travail, mais le degré de responsabilité est différent. Quand une décision doit être prise, il n'y a personne pour la prendre ma place. Bien sûr, il y a des gens à qui demander conseil, comme Vladimir Poutine, une personne de grande expérience, un homme politique très populaire, mais la décision finale m'appartient. Et si je me trompe, je suis responsable. Cela change tout. "
Commentaires
la corruptiopn mal éternel
la corruption se nommait jadis "vénalité des charges" sous "l'ancien régime français"..la vénalité à changé de forme,elle existe encore,et dans certains pays "émergents" est en plus alimenté par la défaillance de l'état et d'un service publique qui assure la péréquation nationale.. depuis l'empire romain la grangréne était admise comme partie du systéme...mais de nos jours quel état veut se passer de l'argent des maffia,et du trafic d'êtres humains,combattu officiellement pourtant par certaines nations qio craignent plus "l'invasion" que la "corruption" que cela entraine dans le monde économique!sil est heureux qu'on en parle(ce que les occidentaux font mais finalement sans se donner les moyens collectifs de réussir un combat de longue haleine)pour ce qu'on sait des russes il serait bon que les plus riches prennent conscience de leurs devoirs envers les plus fragiles,à commencer par les enfants des rues,parfois sans familles,ceux qui végétent dans des institutions mal adaptées,les malades incurables,ceux des rues aunsi qu'aux personnes agées misérables!Et la CEE pourrait avoir un "grand projet" pour avoir une "synergie transfrontaliére" à ce sujet,car c'est quand même aux sacrifices des russes,comme de ceux que l'occident à abandonnés aux goulags staliniens(dont beaucoup de non russes)que l'europe occidentale doit sa liberté et son indépendance,conditions premieres du reste!ce ne serait que vérité et reconnaissance!Un pays "neutre" comme la suisse pourrait aussi "controler" que l'action commune ne soit pas à son tour détournée de son objet!pour le reste,l'impérialisme russe à hérité du tsarisme et du stalinisme et là aussi il y à de quoi faire!
Sous Poutine, c'est une vaste entreprise de réhabilitation de Staline qui est en cours, tendance dont 2 livres donnent une parfaite illustration : la biographie monumentale de Staline par V. Karpov et les travaux de Youri Joukov sur les purges des années 30 [6].
Dans le livre de Karpov, Staline est dépeint comme un patriote russe, comme le bâtisseur de la superpuissance russe qui a vaincu aussi bien la tentative "sioniste" de prendre le contrôle de la Patrie sous Lénine, et l'attaque occidentale contre la Russie menée par Hitler (à l'évidence, l'auteur pense que le premier exploit devrait valoir à Staline une gratitude particulière de la postérité).
L'idéologie communiste s'y interprète comme un instrument dont Staline se sert pour réaliser des ambition géopolitiques entièrement légitimes.
Quant aux purges, il les justifie par la présence de véritables ennemis de l'État russe.
Dans le livre de Joukov, nous trouvons une approche semblable, quoique moins obsédée par le thème du "sionisme".
Joukov décrit Staline comme un démocrate, dont le programme réformiste était bloqué par un Politburo "conservateur" en 1937.
En Occident, l'amnésie des crimes communistes peut s'expliquer par les raisons suivantes :
Le romantisme révolutionnaire, la fascination pour l'idée de révolution elle-même sont plus vivantes que jamais, et pas seulement en Amérique latine.
Comme le dit Kosatchev, reprenant beaucoup d'Occidentaux :
"Nous nous opposons principalement à la comparaison du communisme avec le nazisme.
Il y a des différences évidentes entre ces idéologies.
Le but du nazisme était le bonheur d'un seul peuple, le peuple aryen, aux dépens de tous les autres.
Le communisme voulait faire le bonheur de tous".
Comme les FARC en Colombie ?
Le socialisme sème toujours les graines qui conduisent à sa propre destruction. L’appropriation étatique du pétrole n’est pas une exception à la règle.
La plupart des gens ne discernent pas que 90% des réserves pétrolières du monde sont contrôlées par des gouvernements ou des compagnies appartenant à des Etats.
Exxon-Mobil, l'entreprise pétrolière privée la plus importante, ne possède que 1,08% des réserves pétrolières mondiales.
Et les 5 plus grandes entreprises pétrolières mondiales prises ensemble n’en possèdent que 4%.
Si les politiciens occidentaux comprenaient les faits et parlaient vrai, ils pesteraient contre la « rapacité » socialiste et étatiste, et pas contre les compagnies pétrolières privées.
Alors, la Russie, un pays pauvre ?
Avec le pétrole et le gaz dont ils disposent, seul une mauvaise redistribution est coupable.
De Khodorkovski, l'ancien PDG de Ioukos, qui fut à une époque la première fortune russe, et est emprisonné depuis 2004 pour « vol par escroquerie à grande échelle » et « évasion fiscale », mais il conteste ces accusations, nous n'en savons plus rien.
Issu d'une famille juive dont le père et la mère étaient ingénieurs chimistes dans une usine de Moscou, il a fait de brillantes études qui lui ont permis de rejoindre l'Institut d'économie Plekhanov tout en menant en parallèle un grand activisme militant au sein des Jeunesses communistes (Komsomol).
Il était en outre membre du parti communiste.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mikha%C3%AFl_Khodorkovski
La Russie, est-elle toujours antisémite, depuis les tsars, les soviétiques, serait-ce un "héritage" ? Non ?
Roman Arkadievitch Abramovitch (parfois orthographié Abramovich), né le 24 octobre 1966 à Saratov, Russie, est un oligarque russe de confession juive.
Il est le gouverneur de la province russe du Tchoukotka (extrème nord est).
Non, toujours pas antisémites, les Russes ?
Boris Abramovitch Berezovsky, est un homme d'affaires et homme politique israélo-russe né en 1946.
Il est l'un de ceux que l'on a appelés les "oligarques" et est devenu le premier milliardaire en Russie, en tirant profit de la libéralisation post-communiste et de ses entrées dans le cercle de Boris Eltsine.
Poursuivi pour fraude et évasion fiscale par le Parquet russe (et également par le Parquet du Brésil pour un financement illégal d'un club de football), il vit actuellement en exil à Londres sous le nom de Platon Elenine.
Londres refuse son extradition pour des motifs politiques.
Il est titulaire de la nationalité israélienne.
En 1999, Boris Berezovsky aide à propulser la carrière gouvernementale de Vladimir Poutine, ancien directeur du FSB (services de renseignements) méconnu du public, jusqu'au poste de Premier ministre en août, au moment du déclenchement de la Seconde guerre de Tchétchénie.
Il espère pouvoir disposer auprès du nouvel homme fort de la même influence dont il usait auprès de Boris Eltsine.
Celui-ci démissionne à la surprise générale le 31 décembre 1999, Vladimir Poutine est élu président de la Fédération de Russie en mai 2000.
Poutine ne tarde pas à faire ouvrir des investigations sur les affaires de Berezovsky.
Oleg Deripaska est visé par une plainte déposée fin 2000 à New York.
En effet, l'homme d'affaires russe, Mikhaïl Jivilo, l'accuse de « corruption, assassinat et liens avec le crime organisé» et lui réclame 900 millions de dollars de dommages et intérêts.
Viktor Feliksovich Vekselberg n'est pas juif ?
L'évasion fiscale des fortunes de ces oligarques vers la Grande-Bretagne, les États-Unis ou Israël, parfois mêlée à des transmissions présumées de documents Secret d'Etat aux services secrets des pays concernés (exemple supposé de Boris Berezovski avec le MI6), constitueraient les vraies raisons de cette protection occidentale.
Dmitri Anatolievitch Medvedev
De 1990 à 1999 il est professeur à l'Université d'État de Saint-Pétersbourg.
De 1990 à 1995, conseiller du Président du Conseil municipal de Leningrad Anatoli Sobtchak, expert près le Comité des relations extérieures de la Mairie de Saint-Petersbourg, donc directement sous la direction de Vladimir Poutine. Il était chargé de la mise au point de divers contrats et projets d'investissement.
En 1993, il est un des fondateurs de l'entreprise « Fincell », elle-même fondatrice de « Ilim Pulp Enterprise », l'un des géants forestiers russes.
Dans cette dernière structure, Medvedev est directeur des affaires juridiques.
En 1998, il entre au conseil de direction de l'une des plus grandes entreprises contrôlées par celle-ci : le combinat forestier de Bratsk.
Il devient, en décembre 1999, le directeur adjoint de l'administration présidentielle puis premier directeur adjoint en 2000.
En 2000, il devient également président du conseil de direction du groupe Gazprom.
C'est lui qui est à l'origine du gazoduc sous-marin reliant directement la Russie à l'Europe de l'Ouest en évitant les États Baltes et la Pologne.
Le gouvernement de Gerhard Schröder s'est porté garant d'un crédit d'un milliard d'euros proposé par les banques Deutsche Bank et KfW à Gazprom pour la construction d'un gazoduc germano-russe en mer Baltique.
Peu après avoir cédé le pouvoir à Angela Merkel, Gerhard Schröder a été engagé par Gazprom pour diriger le Conseil de surveillance du consortium germano-russe chargé de construire ce gazoduc, dont Gazprom détient 51%. Gazprom a toutefois par la suite refusé ce prêt des deux banques.
Voila QUI ose nous parler de "corruption"...
corruption dans les pays riches:histoire:depuis que les romains avaient renoncés à la république pour un empire qui mis du temps à se déclarer empire(cesar qui était tribun du peuple ne sera qu'auguste impérator et souverain pontife)sous prétexte que Cesar se voulair roi avanr d'être asassiné en famille(son fils,ses amis,ses alliés politiques)la corruption est aussi un apanage des pays riches au profit d'une minorité; en france,sous Louis XVI,7 princes du sang,36 ducs et pairs oui maréchaux33 présidents ou procureurs géneraux de parlements,II pr&élat,I2 conseillers d'état,I2 député d'état,25 maires(echevinss),envoron I44 personnes se réunirent pour se plaindre de la vcorruption du royaume(dont uls profiteux eux memes largement),l'egilse étant exonérée d'impot(à charge d'entretenir les pauvres)et possédant au moin 5O% du foncier du pays(alors richesses principales n'empéchaient pas de faire spolier et condamner au bagne 5OO chefs de familles pour impots impayés..ceci dans un pays de 25 millions d'habitant ou 6.OOO "nobles de cours"(Sur 25O.OOO "aristocrates" environ) trutaient tous les pouvoirs,prébendes et avantages."l'avertissement des "norables" passa au dessus de la tête du peuple,et c'est finalement sous louis XVI,parce que le pape refusait l'autonomie de l'église de france(prétres catholiques salariés prétant serment à la république)que le roi s'enfuit a varenne(aprés avoir promis ce qu'il pensait ne pas tenir)et entraina le pays dans la guerre civile!Reflexion,un pzeu plus de probité =er de discrétion chez les plus riches ça "consolerait" les pauvres en attendant les réforlmes urgentes!A noter que l'islande,pays sans ressources(comme la suisse)àne vivent pas si mal quze ça
bonsoir moi c est seyba gabe je vie en cote d ivoire je suis celibataire sans enffants ni copin je suis un povre enfants je suis orpheline