La politique finira au musée ou en vitrine. A choix. Le destin honorable, mais figé c'est le musée. La vitrine c'est pour les montres et la démonstration. Ou encore les belles, dont les charmes sont à vendre, mais ce n'est pas le même registre, encore que. Tous s'exhibent pour épater ou suprendre le chaland.
En butinant dans la blogosphère de la Tribune - c'est une de mes fonctions - je découvre les fonds de tiroir du ci-devant citoyen Pascal Holenweg. Il rapporte un événement qui avait échappé à ma vigilance. Il est vrai que je ne regarde pas les exhibitions de nos municipaux ou de nos députés sur Léman Bleu. Pour le détail je vous renvoie à son billet.
De ce petit manège militant, je tire cette leçon...