Mais qu'est donc allé faire Serge Dal Busco dans l'enfer de la mobilité, s'est-on demandé quand on a su que le ministre, ancien président des Maires, avait émis le désir ardent de quitter le très stratégique Département des impôts, du budget et des ressources humaines pour le très technique Département des infrastructures?
Outre d'avoir l'honneur d'inaugurer le CEVA et la plage des Eaux-Vives, le ministre marathonien allait-il infléchir la politique de son erratique prédécesseur et néanmoins camarade de parti?
Ce matin, 12 juin, tombe la première décision. Le test qui autorise les motards à emprunter les voies de bus est enterré. Serge Dal Busco va-t-il dans la foulée refermer la rue de l'Ecole de Médecine au trafic automobile?
Et renoncer à la traversée du lac?
Et quoi encore?