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Communes genevoises - Page 4

  • Le RIC sur la culture, c'est la fin des communes genevoises

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    aRT GENEVOIS.jpgLes citoyens genevois (220'000 sur 400'000 habitants âgés de plus de 18 ans - vous avez dit démocratie?) sont donc appelés à trancher deux sujets fédéraux et neuf questions cantonales, le 19 mai prochain. Le sujet le moins débattu est l’initiative pour une politique culturelle cohérente dont l'éditorialiste de la Tribune de Genève dit, ce jeudi, que la mollesse de l'opposition devrait lui assurer un succès sans précédent.

    Les Genevois ont-ils conscience que cette initiative signe un peu plus la fin des communes genevoises? Ce qui me réjouit, comme le savent mes lecteurs fidèles que je profite de remercier.

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  • Le retour de Bardonnex Alternative?

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    badronnex alternative.jpgA moins d'un an des élections municipales du 15 mars 2020, la chasse aux candidats est lancée dans toutes les communes du canton de Genève. La plupart des Partis politiques, Ententes et autres Groupements qui ne disent pas leur couleur espérant ne froisser personne et grappiller large, peinent à boucler leur liste. Serait-ce que l'administration des communes a perdu de son sel?  Serait-ce que les communes n'ont plus de pouvoir?  *)

    Dans ma commune de Bardonnex, le pouvoir semble pourtant à nouveau intéresser les Verts et la gauche, qui se sont volatilisés en 2015, faute de candidats. Ce 30 avril,  au bien nommé Eki-thé, épicerie bistrot bio, à fonctionnement volontaire, Bardonnex Alternative invite les citoyens à débattre (cliquez sur la vignette pour agrandir l'affiche). Sans surprise, l'ordre du jour n'affiche que des sujets où les communes n'ont pas ou que peu de pouvoir.

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  • Le directeur veut dépoussiérer le Muséum

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    "Le PSC est un processus long et exigeant..." écrit Sami Kanaan en exergue du Projet scientifique et culturel 2020 du Muséum d'histoire naturel de Genève. Diable oui, voilà cinq ans que le PSC 2020 a été rédigé. C'était une première suisse. Et depuis? Rien de visible, pour le commun des mortels du moins, sinon l'étude en cours (depuis 2012) d'un projet sensé préserver les 120'000 bocaux conservant les trésors du musée dans l'alcool. C'est un risque majeur d'incendie que ces 48'000 litres d'alcool, a dit un office fédéral qui, aveugle au fait que ces bocaux n'ont jamais provoqué le moindre incendie, commande la construction d'un fortin à plus de 20 millions. Normal. Dans notre société qui ne tolère plus le risque, seul le principe de précaution fait loi. Ici comme ailleurs. 

    Que pourrait-on faire d'autres avec ces millions en réduisant le risque par une élimination critique de ces bocaux, tenant compte des outils contemporains de traitement des données? Créer avec d'autres muséums des applications permettant aux visiteurs de voir la vie des animaux empaillés en réalité augmentée via leur smartphone, des tablettes ou des casques louées? En fait cela existe déjà.

    Et puis, quelle est la valeur effective des spécimens conservés? Enfin, ce travail de conservation d'un patrimoine qu'on dit mondial est-il bien dans les attributions d'une commune? Je vais donc lire le PSC 2020 pour y chercher des réponses. En attendant, le directeur du Muséum, Jacques Ayer, a réagi à na note du 27 mars intitulée "Muséum: lugubre et poussiéreux". Voici sa réponse: 

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