Peut-être change-t-on leur"karma", ou bien favorise-t-on une espèce au détriment d'autres. Peut-être déséquilibre-t-on gravement l'écosystème.

Ou bien pas. Dans la mesure où les espèces vivantes sont en interaction, nourrir les mésanges est normal. D'ailleurs il y a d'autres oiseaux qui profitent de ces boules. Sans compter les corneilles qui font nos poubelles.

Peut-être faut-il accepter que tout le monde interfère, et que l'idée d'une non-interférence est illusoire. D'ailleurs, interdire à l'humain d'interagir, ne pourrait-ce être vu comme un déni à son droit d'exister?
Limiter l'humain en affirmant qu'il a tout faux et qu'il détruit ou désorganise ce qu'il touche, n'est-ce pas une forme de comportement d'espèce suicidaire?

HA
HA
HA.

Vous êtes gentil dans votre rôle de négateur de crise écologique... restez bien aveugle. Bien aveugle.

Le concepte de "L'effet papillon" est fascinant et sympa comme pour inspirer des scenario hollywoodien.

Mais dans la realité il ne s'appliquerait qu'aux systemes fondamentalements instables et/ou non amortis. Ce qui n'est evidement pas le cas de l'atmosphere terrestre. Sinon je tuerais tout les jours des Australiens en eternuant...

@ hommelibre, jfmabut:


Cui-cui!!


Un lien autorisé, traitant du nourrissage hivernal des p'tits n'oiseaux.

http://infonet.vogelwarte.ch/home.php?siteLoad=wif&hkg=515&lang=fr


Pour ma part, je leur "dresse le couvert" lorsque c'est vraiment nécessaire (gel prolongé et/ou neige) et uniquement des boules pour mésanges (et rouge-gorges) et parfois une orange coupée en deux ou une pomme un peu blette pour les merles.

Il va sans dire que le nourrissage (hivernal) n'a lieu d'être que s'il y a une chance de voir les invités se présenter au buffet... donc poser des boules pour oiseaux (de jour!!) à la place Cornavin n'est d'aucun intérêt. ;o)

Préférez les zones arborisées, buissonneuses, genre parcs, zones villas, etc...


Allez.... bon vol à toutes/tous!


=:oB

Ben... durant la canicule de 2003... alors que je bronzais, je n'ai pas eu l'once d'un tit air frais des battements d'ailes de papillons qui butinaient mes fleurs, alors de là à évoquer l'effet papillon?....

« De crainte que le seul fait de demander, suivant le titre de cet article, "un battement d'aile de papillon au Brésil peut-il déclencher une tornade au Texas ?", fasse douter de mon sérieux, (...)

Désolée, mais moi je doute effectivement du sérieux du météorologue Edward Lorenz.

JFM, olè!

lancer ton sujet, avant la bousculade des failles sous Haiti, c'est trop top!

creuse un peu cte théorie (entre la mécanique des quantums & la relativité, y'a du mathos!): persistance oblige, sous la couche sédimentaires des railleries attendues...

à ciaò bonsoir!

L'effet papillon, cela ressemble plutôt à l'effet domino, dans le sens inversement proportionnel à la catastrophe. On le constate à travers les médias, les sites blogs et autres. Si les ailes du papillon touchent celles du voisin ou de la voisine, celui-ci ou celle-ci va toucher un autre papillon qui à son tour... Et quand toutes les ailes se mettent à battre en même temps, l'humanité plane sur son nuage de générosité, de bons sentiments, d'appels au secours en tous genres... On le voit avec Haïti. C'est la grande catastrophe qui a provoqué un effet domino sur les infrastructures de l'Ile suivi de l'effet papillon des citoyennes et citoyens du monde entier, provoquant un grand karma collectif qui bat encore ses ailes pour un bout de temps... Bien à vous.

Le problème du nourrissage des oiseaux est d'abord qu'il devient très vite le terrain de chasse des chats, en surpopulation terrifiante dans ce pays...

Israel interdit toute forme d'assassinat d'animaux sauvages, les peines de prisons pour ceux qui seraient tentés, sont très lourdes.
Pendant que les chasseurs suisses s'attaquent à de pauvres bêtes estimées eu surnombre, les Israéliens accueillent toutes les bêtes sauvages de toute la régions, dans les plaines du jourdain on croise des milliers d'oiseaux et d'animaux devenus confiants de la présence humaine, comme si ils avaient compris que les Israéliens ne leurs voulaient pas de mal !
Alors avant de vouloir les nourrir, il faudrait peut être vite voter des lois pour arrêter de les massacrer au fusil!

C'est l'histoire d'une fille un peu faible d'esprit, il y a trente ans elle faisait partie de la secte de Rajnesh Osho, ça se passait à Poona en Inde.
Tout était permis, libérer son corps et son âme de toutes les contraintes héritées de cette civilisation occidentale en besoin d'aventure et d'orientalisme.
Avinna (nom de secte) avait environ 25 ans, élégante et provocante dans sa dégaine, au niveau du discours c'était autre chose, mais beaucoup ne s'intéressait pas à ce qu'elle pouvait bien ressentir, son corps suffisait largement !
Avinna était perdue dans cette univers pseudo-mystique affranchi de toute cette morale chrétienne ridée et excessive, "un petit massage et crac-crac", ceci avec la profonde conviction que la rédemption avait accouru içi et maintenant.
La vie était agréable dans ces décors indien aménagés pour cette nouvelle manne, petits hôtels branchés, restaurants avec tous les délices de l'orient sauce exotique pour quelques roupies.
Avinna comme beaucoup d'autre ne trouvait pas, malgré tous ces artifices, son compte dans cette dérive, ses parents ne lui envoyaient pas les 1000 $ nécessaire à tous ces petits privilèges, elle n'était pas la seule genevoise dans ce cas, il aurait donc fallu revenir à Genève, travailler et revenir dans ce havre de stupre.
Stupre pour stupre, pourquoi ne pas simplement s'arrêter à Bombay lointaine seulement de 200 km et avec une copine de cheval et autres massages tantrique faire profiter des clients de passage souvent venant du golf de leurs soins experts, ceci dans un cade encore plus luxueux.
Alors tout les mois, elle tombaient leurs tuniques oranges et prenaient le cap pour la fortune facilement gagnée. Les deux principaux palaces de Bombay étaient é l'époque le Taj-Mahal et l'Oberoi Sheraton, c'est dans le lobby de ces palaces que les gourgandines facturaient leurs services divins.
Plus tard, de retours dans la ville de Calvin, le manège continua, au Noga-Hilton , é l'Inter-continental et autres, puis rencontra celui qui deviendra son mari, le directeur actuel d'Handicap International, quand on a des goûts de luxe, rien ne peut vous écarté de votre destinée.
Que du beau monde je vous dit, que du beau linge !

Son mari, lui, la trompe avec une gardienne de taule, ça faut des années que ça dure, ils ont deux enfants, ils seront surement eux aussi dans l'humanitaire, c'est pour ça qu'il ne faut donner pas son argent à des menteurs et à des personnes donnant des leçons, tout en ayant eux mêmes une morale de voyou !