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Pourquoi si peu de paysans genevois bio? (2)

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Du discours à la pratique, il y a parfois et même souvent un fossé difficile à franchir. Convertir une exploitation au bio, quand, comme à Genève, on cultive du blé, du mais, du soya, du tournesol, du colza, de l'orge, bref ce qu'on appelle des grandes cultures, et qu'on n'a plus de bétail depuis 30 à 50 ans n'est pas du tout évident, ni du point de vue technique, ni du point de vue économique. Le fait qu'un passage partiel au bio ne soit pas reconnu pour obtenir les labels bio freine encore la migration.

 

FormaPro, la filiale formation de Prométerre, propose aux agriculteurs intéressés par le bio ou aux producteurs ayant déjà commencé la reconversion deux cours :
- Le 29 novembre: «L’agriculture biologique est-ce pour moi?» s’adresse à ceux qui veulent avoir une vue d’ensemble très globale sur l’agriculture biologique.
- Les 23 et 30 janvier: «Se reconvertir à l’agriculture biologique» permet d’approfondir les
conséquences d’une reconversion pour son exploitation. Il est reconnu comme cours d’introduction exigé par Bio-Suisse au début de la reconversion.
Les personnes intéressées peuvent téléphoner à AgriGenève (022.939.03.10), qui leur transmettra de plus amples informations ainsi que les bulletins d’inscriptions.

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