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Swiss: vin de pays!

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Mangée par Lufthansa, Swiss va bien, nous dit-on. Tant mieux pour elle. Depuis le verdict des juges de Bühlach, ses anciens dirigeants vont mieux. Tant pis pour nous! Ne savions-nous pas, pauvres rempants que l'erreur en économie mérite indemnisation? Encore un fruit amère de cette pensée américaine qui nous envahit, selon laquelle une erreur est plus formatrice qu'un succès. Point à la ligne.

 

N'épilogons pas. Le procès de patrons de Swiss n'est pas le propos de ce billet de rentrée. Mais l'actualité m'offre tout de même l'occasion d'un petit coup de griffe à ce qui fut un temps notre compagnie nationale, aussi mythique que le Grütli ou les boîtes et cars jaunes des PTT. Mais il est vrai que le temps est à la Dyn...mythe comme l'écrit joliment le réd en chef de l'Hebdo à propos de la prairie à ruminants.

 


Or donc, volant pour une fois sur Swiss, nous avons eu la désagréable surprise de nous voir offrir, à l'aller comme au retour, un misérable pinard australien. Une prof d'économie de retour d'un congrès des profs d'économie francophones nous avait mis en garde. Mais comme des Saint Thomas nous voulions mettre notre doigt sur la plaie. Hélas!

 

Notez tout de même que l'honneur suisse fut sauvé. Le blanc, comme pour se faire pardonner, arborait sous un habillage identique tous les écussons des cantons. Un assemblage tout juste buvable.

 

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